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 BENTLEY ♛ what does bravery mean to you ?

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Feu Ardent
Feu Ardent
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Feuille de Superheros/Supervillain - Mutant
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MessageSujet: BENTLEY ♛ what does bravery mean to you ?   BENTLEY ♛ what does bravery mean to you ? EmptySam 7 Avr - 13:30


BENTLEY ALEXANDER TERRENCE MICHAEL ADAMSON-NEWTON
fiche; en cours -

C'est le 4 Juillet 1991 à Vérone, en Italie, que la famille Adamson-Newton m'ont accueilli dans leurs bras. Ils m'ont prénommé(e) Bentley Alexander Terrence Michael. Je suis célibataire pour l'instant et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis homosexuel et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale aisée. J'ai décidé de poursuive des études à Harvard en journalisme (majeure) et multimédia (mineure). je suis maintenant en 1ère année d'études. Et pour terminer, je fais partie des Students mais j'aimerais un jour devenir membre de la Quincy House.

Études
Ayant toujours eu un profond respect pour la vérité, il est normal que Bentley se soit orienté vers des études qui spécialisent en sa mise en page ainsi qu'en sa diffusion. Avant tout étudiant en journalisme, l'écriture le passionne, tant et si bien qu'il la voit plus comme un jeu qu'autre chose. Ça ne le dérangerait d'ailleurs pas d'avoir à prolonger ses cours si cela veut dire qu'il conserverait son accès aux ressources à sa disposition. Sinon, il étudie également en multimédias afin de pouvoir ajouter ce petit "plus" tant attendu par les potentiels employeurs lors de ses futurs entretiens d'embauche. Parmi ses domaines d'interrêt se trouvent le réchauffement climatique, les espèces en danger et la négativité des rapports entre pairs.

Et en campus ? Nous ne pouvons pas dire que Bentley s'y repère bien. Il est perdu au milieu de toutes ces têtes, n'ayant pas encore trouvé quelqu'un capable de le guider dans l'étrange forteresse qu'est Harvard. Car oui, jusqu'à présent, il étudiait à l'université de Yale en droit avant d'avouer à ses parents que ça ne lui plaisait pas, ni la matière, ni les professeurs, ni les élèves et encore moins le campus, et de poster son application pour Harvard.


Caractère

Si vous contempliez la personnalité de Bentley, vous remarqueriez sans nul doute que vous l'avez déjà vue quelque part auparavant ... Chez les filles. En effet, il a une idéologie et une manière de fonction identique à celle de la gente féminine, que ce soit en matière de rangement, d'études ou de relations avec les autres. Il est donc évident que Bentley n'est pas du genre lourd avec ses pairs et reste sérieux plutôt qu'autre chose. Compassioné comme elles, il chercherait toujours à comprendre les autres au lieu de chercher à leur casser les dents. Pardonnant, il ne peut refuser les demandes de seconde, troisième voire même quatrième chance, étant donné que causer de la souffrance aux autres lui fait mal. Très conscient des problèmes du monde actuel, il souhaiterait les résoudre, ce qui explique la voie qu'il a suivi : celle du journalisme. S'il y a une chose qu'il aime plus au monde, il s'agit bien de la vérité, et quoi de mieux que de l'étaler sur des pages gigantesques ? Doutant de sa propre attractivité, il s'observe dans la glace le matin afin de voir s'il n'y aurait rien à améliorer ... Discret, il n'affiche pas sa sexualité partout où il va. Plutôt du genre soumis et dépendant, il préfère de loin le travail de groupe à celui individuel, surtout étant donné que différentes personnalités combinées terminent toujours par un curieux et intéressant cocktail d'idées et de styles d'écriture. Qu'est-il aussi ? Généreux et affectueux ; c'est comme ça que nous l'aimons.


Everyone Has Their Own Story
Le matin, les oiseaux chantonnaient, perchés aux sommets de leurs arbres favoris, le soleil étincelant dans le ciel azurain. Me levant à la seconde où mon réveil se mit en marche, je ne grognais pas ... Pour une fois. C'était une belle journée, du moins, c'était censé le devenir. J'avais dix-huit ans et j'étais bien dans ma peau. Intelligent, beau, organisé ... Mon avenir n'attendait que moi, et j'allais passer mon dernier examen du baccalauréat afin de faire le premier pas vers celui-ci. Devant les portes du lycée, un brouhaha inimaginable avait lieu, les autres élèves ayant passé l'IB attendant avec impatience le début de cette dernière épreuve, et, indirectement, sa fin. Parmi eux se trouvait Abyss.

Il n'était ni le plus beau, ni le plus intelligent et aurait pu améliorer son physique par un entraînement sportif régulier ainsi qu'en affichant un sourire, ne serait-ce que pendant quelques secondes. Pessimiste prononcé, il semblait vouloir s'enterrer au fond d'un gouffre, d'un puits sans fin et d'y terminer ses jours. Mais cela m'importait peu. Ce qu'Abyss avait de spécial et d'unique, c'était cette beauté intérieure qui devient de plus en plus rare. Celle qui n'appartient qu'aux personnes généreuses et justes. Aux personnes qui comprennent les autres et tentent de faciliter leur vie. Et comment le savais-je ? Parce que j'étais son seul et unique ami. Mais avant de continuer, j'ai des aveux à faire : je vous ai menti. Abyss n'est ni laid ni idiot. En réalité, il fut officieusement le "roi" du lycée ... Du moins, pendant les deux premières années de celui-ci. En effet, au début du troisième trimestre de sa première, son père fut incarcéré pour viol. Je pense que c'est à ce moment là qu'il grandit finalement, ayant muri intellectuellement et psychologiquement. C'est aussi à ce moment là qu'il se coupa du reste du monde. Je ne lui avais jamais réellement accordé beaucoup d'importance jusqu'à lors, et je pense avec une extrême conviction que c'était réciproque. Néanmoins, nous sommes aujourd'hui extrêmement proches ... Allez savoir pourquoi.

En réalité, il m'avait sauvé la vie. Non, pas littéralement ! En effet, lorsque j'avais perdu mes notes de révisions pour mes examens de fin de première, il me passa les siennes. N'osant pas lui demander comment lui allait faire pour réviser, je les refusai au départ ; mais devant son insistance, ne put qu'accepter. Grâce à lui, j'avais encore une fois récolté un A*. Je cherchais à les accumuler, ne souhaitant pas avoir ne serait-ce qu'une seule note en dessous de la moyenne : en effet, ma future université vérifierait ma performance au lycée, et si celle-ci n'était pas impeccable, y rentrer me serait davantage compliqué. Certes, mes parents pouvaient toujours payer un peu plus cher afin de m'assurer une place ... Mais je préférais réussir par mes propres moyens. En parlant d'eux, ils ont toujours été là à me soutenir, malgré leurs nombreuses absences dans mes premières années de vie. Occupés à mettre en route leur cabinet d'avocats afin de gagner suffisament d'argent pour m'offrir une vie de rêve, ils me négligèrent cependant lors des soixante premiers mois de ma vie. À présent conscient de la situation, je ne leur en veux pas ... Mais à l'époque, je les connaissais trop peu pour ne pas me sentir intimidé par leur présence.

Ayant vécu à Henley on Thames, une magnifique ville peuplée de bourgeois dans le compté d'Oxford, je fus élevé tel un enfant "typiquement anglais" et ne m'en plaignit jamais. Mais revenons-en à nos moutons. Abyss avait fait un sacrifice pour moi et je lui en avais été plus que reconnaissant. C'est ainsi que nous nous mîmes à nous fréquenter. J'avais toujours mes quelques amis autour de moi la plupart du temps, mais dès que je le voyais, je m'éclipsai afin de le rejoindre. Lui, après tout, n'avait plus personne depuis sa pseudo-isolation du reste du monde. Il me parlait de sa philosophie, de ses idéaux, de son père, de sa mère ... Réfléchi, silencieux et discret, il en disait beaucoup en très peu de mots. La plupart du temps, il me laissait terminer les phrases à sa place. En l'espace d'un an, j'appris tout sur lui sans rien savoir en même temps ... C'était assez étrange. Une chose était sûre : j'étais amoureux de lui. Et j'allais le lui déclarer. Qu'avais-je à perdre ? Je passais après tout mes dernières minutes dans ce lycée. J'avais été accepté dans toutes les universités qui m'avaient plu et j'avais réduit mon choix à celle de Yale. Évidemment, j'allais m'engager dans un domaine qui ne me plaisait absolument pas : celui du droit.

L'examen était terminé. Nous pouvions à présent rentrer chez nous et ne plus jamais revenir. Seule une autre élève de ma classe avait elle aussi formulé le voeu d'aller à Yale ; je serais donc capable de recommencer ma vie comme elle l'entendait et d'être qui j'étais réellement. Comme après chacun de nos examens, il m'attendait. J'avais réussi à le faire sourire un peu plus ces derniers temps ; c'était bon signe, il avait l'air d'aller mieux.

- Comment as-tu trouvé cette dernière épreuve ?

- Ça peut encore aller. Et toi ?

- C'est dans la poche.

Hésitant un peu, je regardai discrètement autour de moi avant de rajouter, d'un ton plus sérieux :

- On peut aller dans notre coin ? J'ai quelque chose que j'aimerais te dire ...

Indifférent, il répondit qu'il me suivrait où je voulais, étant donné qu'il n'avait rien d'autre à faire de la journée. Un ou deux scénarios agréables se dessinait dans mon esprit avant que je ne les chasse avec vigueur et détermination. On marcha donc en silence jusqu'à une petite cour cachée derrière plusieurs pâtés de maisons où personne n'allait jamais pour une raison qui nous échappait. Cela faisait plus de 365 jours que nous avions découvert le lieu et nous n'étions pas prêts de le quitter. Surtout moi. J'y avais associé tant de souvenirs et d'idées que ne pas y revenir, ne serait-ce qu'une fois, me semblait impossible. Me regardant d'un air interrogateur, on pouvait voir qu'Abyss était plus curieux qu'il voulait laisser paraître. J'inspirai alors profondément avant de me lancer tandis qu'il mettait une cigarette dans la bouche. Il eut suffi que je lui dise une fois uniquement que je ne fumais pas pour qu'il lâche l'affaire et me laisse la paix avec. C'était ça, ce que j'aimais le plus, chez lui : c'est qu'il me respectait, autant moi que mes principes.

- Je pense qu'on est suffisament matures et âgés pour se comporter de manière adulte. Aussi, je pense pouvoir te faire confiance avec ce que j'ai à t'annoncer. En réalité, cela fait plusieurs mois que je ressens quelque chose ... quelque chose de fort à ton égard. Je me doute que ce n'est point réciproque, mais je pars demain pour les États-Unis et je sais que j'avais besoin de te le dire.

Aucune réponse. Je m'étais lancé si rapidement que l'information n'a pas eu le temps de rentrer dans son esprit. Abyss ne faisait que me regarder, les yeux béats, la bouche grande ouverte, aucun son n'en sortant. Il en perdit même cette cigarette qu'il était si difficile de lui ôter de la bouche lorsqu'elle n'était pas terminée, celle-ci s'écrasant contre le trottoir de béton loin sous ses pieds. Lui, assis sur la rambarde, moi, debout, en face de lui, adossé au lampadaire, nous formions un couple de personnes "peu recommendables" d'après les snobs de la région. Un couple de vieux passait d'ailleurs, derrière moi, occupés à chuchoter en silence, les yeux rivés vers eux, un air de mépris sur les lèvres. Me retournant furtivement, je soupirai en les voyant. Ils étaient pathétiques. Comme si leurs avis m'importaient. Je venais d'une bonne famille, j'avais été bien élevé, et, en ce qui me concernait, je ne me trouvais pas "délinquant". Je travaillais, je ne fumais pas ; hormis quelques verres, lorsque l'envie me prenait, je n'étais pas alcoolique, et, finalement, mon style vestimentaire approchait plus celui d'un mannequin que celui d'un voyou.

Me retournant alors vers Abyss, j'étais honteux. J'avais la nausée. Je voulais disparaître. Je ne sais pas ce qui m'avait pris, mais je m'étais lancé, et j'avais présentemment l'impression de heurter un mur fait de briques. Orientant mon regard vers mes pieds, je tremblais. Je ne savais plus quoi faire ni où me cacher. Il expira finalement avant de me répondre en silence :

- ... Tu comprendras que tu es un excellent individu. Tu comprendras aussi que je ne t'aime malheureusement pas de la manière que tu l'entends. Néanmoins, je te souhaite tout le bonheur que tu me mérites, et, en tant qu'ami, déclare que tu me manqueras.

La gorge nouée, je marchai alors vers mon chez-moi, mon petit hâvre de calme et de tranquilité. Aussi bon qu'il était, il pensait à tout, et ajouta donc :

- Et Bentley ? Ne te fais pas de tracas : je te promets que je n'en parlerais jamais à personne ... Je sais que c'est important pour toi que tes parents ne le découvrent jamais, étant donné qu'ils sont aussi étroits d'esprit, et, comprenant tes sentiments, je ne puis que tout faire pour être sûr que cette situation n'arrive jamais. J'espère que tu leur montreras, à ces imbéciles, à Yale, que le meilleur, c'est toi.

C'était un non. Un oui-non. Il m'aimait, mais pas dans ce sens là. Il me respectait, il m'acceptait et il m'appréciait. Et ça me suffisait. Je savais que d'ici plusieurs semaines, je l'oublierais tant que j'avais réussi à connaître la réponse que j'attendais depuis si longtemps ... Néanmoins, il parvint à me surprendre une fois de plus. S'approchant de moi, il me tint par le menton avant de coller ses lèvres contre les miennes. Simple, mais efficace. À quel motif ? Je l'ignorais. Peut être souhaitait-il voir ce que ça lui faisait, de m'embrasser ; voir s'il ne ressentait pas quelque chose, après tout. Peut être souhaitait-il simplement que mon premier baiser me vienne maintenant, car il savait que l'attendre m'était difficile. Peut être souhaitait-il que celui-ci vienne de quelqu'un que j'aimais, aussi ... Jusqu'à aujourd'hui, j'en ignore toujours la cause ... Mais je peux dire que ce fut le meilleur baiser du monde.

J'ai passé deux années à Yale, années qui m'ennuyaient, loin de ma famille et de mes amis, occupé à me tenir à l'écart du monde afin de m'arracher les cheveux devant un code pénal qui ne m'intéressait pas du tout. Je m'étais écarté de la société afin d'essayer de réussir là où je n'en avais pas l'envie ... Et puis, j'ai envoyé mon application à Harvard, pour une place dans le journalisme. Lorsque je reçus confirmation de mon acceptation, je n'hésitai pas un instant. J'allais passer ma troisième année universitaire à Harvard, en reprenant tout à zéro et en commençant une nouvelle discipline.

J'allais enfin à faire ce que j'aimais, et c'était tout ce qui comptait.

the face behind
↬ PSEUDO/PRÉNOM - Feu Ardent.
↬ ÂGE - 15 Ans.
↬ PAYS/RÉGIONS - Hong Kong, Chine.
↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM - PRD. :gla:
↬ TES IMPRESSIONS - Mieux qu'avant ? Y'a l'ambiance qui s'ajoute au design. :**:
↬ CRÉDIT(S) - Feu Ardent.
↬ AVATAR - Garrett Neff.
↬ SCÉNARIO OU PI? - PI. :hanwi:
↬ LE MOT DE LA FIN - The End.

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