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 GRISWOLD ♚ karma's a bitch. But then again ... Who isn't ?

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Feu Ardent
Feu Ardent
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Feuille de Superheros/Supervillain - Mutant
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MessageSujet: GRISWOLD ♚ karma's a bitch. But then again ... Who isn't ?   GRISWOLD ♚ karma's a bitch. But then again ... Who isn't ? EmptyMar 5 Juin - 7:57

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GRISWOLD HARVEY ILSLEY

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ϟ nom Ilsley. ϟ prénoms Griswold Harvey. ϟ date de naissance 15 Juillet 1981. ϟ age 30 Ans. ϟ origines Mère Russe, père originaire de la ville de Chicago. ϟ frères & sœurs Un petit frère, décédé. ϟ statut marital Fiancé. ϟ orientation sexuelle Vraisemblablement homosexuel. ϟ métier Imprésario. ϟ aspiration café américain, visiblement =). prochain projet que vous souhaitez réaliser ϟ Rendre mon fiancé célèbre. ϟ ton rêve Passer ma retraite au soleil.


ϟ comment définirais-tu ton caractère ?
Je le définirais comme je définirais la beauté : subjectivement ! Je ne suis pas une personne bien objective, je dois vous l'avouer. Je suis souvent partial, et j'ai l'habitude de prendre un parti, même si, je vous l'accorde, ce ne sera pas toujours le bon. S'il y a autre chose que vous devriez savoir sur moi, c'est sans doute que je suis une personne pragmatique. En effet, je vois toujours le côté utile des choses et je saurais toujours tourner les éléments en ma faveur. Je pense que ce que j'essaie de dire, c'est que je sais reconnaître les opportunités là où elles sont et les saisir au moment opportun. Et je dois visiblement avoir bon flair, car ce sont elles qui ont apporté Ariel dans ma vie. Je pense que je suis assez idéaliste dans ma façon de penser ; simple, comme diraient certains. Les choses sont noires ou blanches, joyeuses ou tristes. On passe d'une absolution à l'autre. Certains pourraient me repprocher de prendre bien trop de recul vis à vis des choses et de ne pas traiter la vie avec assez de sérieux. Je ne saurais que leur répondre que j'ai mes émotions et mes moments d'obscurité, mais qu'à la fin, où est l'utilité de se casser la tête à compliquer une vie qui se terminera un jour dans tous les cas ? C'est sans doute cette facette de moi qui me pousse à oser, sans hésiter. Et c'est celui-ci qui m'a forcé à demander Ariel en mariage. Et d'un point de vue romantique, comment suis-je ? Normal, je suppose. Je ne sors pas d'un film à l'eau de rose. Mon fiancé sait que je l'aime, et je pense que ça devrait lui suffire.

ϟ parle-nous de ton métier ?
Ce que j'aime, moi, c'est représenter les personnes ... Et gagner de l'argent dans le procédé. À mes yeux, il y a autant de mérite à trouver une perle rare qu'à l'être, tout simplement, et on me dit que je suis assez bon pour les trouver. D'ailleurs, vous n'avez peut être pas entendu parler de mon dernier client. Il s'appelle Ariel, et c'est sans doute l'un des meilleurs chanteurs que vous pourriez avoir l'espoir de rencontrer dans votre vie, alors je vous conseille de le contacter très rapidement avant que l'opportunité ne vous passe sous le nez.
Est-ce que j'aime mon métier ? Absolument. Je ne vois pas ce que je pourrais faire d'autre de ma vie, et ça tombe bien, vu qu'il me correspond à merveille.

ϟ raconte-nous quelle est ton aspiration dans la vie ?
Je ne cherche pas la célébrité. Je ne cherche ni la gloire, ni la fortune. Je ne cherche pas à contrôler et dominer mon entourage, et encore moins à forcer les autres à me suivre et à m'obéir. Mais alors, qu'est-ce que je recherche ? Tout simplement le bonheur ; c'est légal, non ? Certains pourraient penser que je suis un "accro au travail", parce que je suis très ponctuel et efficace dans ce que j'entreprends professionnellement ; mais c'est uniquement pour être sûr que j'aurais de quoi subvenir à mes besoins et à ceux de mon futur mari, et je sais que ma vie ne se limite pas à ça. Je dois avouer que depuis la mort de mes parents, je prête bien plus attention aux petits détails de la vie ... Je saisis les opportunités où elles sont, je ne perds pas mon temps avec les disputes (sauf lorsque inévitable) et avec les dépressions, et je cherche à rendre mon entourage heureux. Pourquoi ? La vie est trop courte pour prêcher dans l'inutile. Je n'ai pas envie de m'endormir fâché avec mon fiancé pour que deux policiers m'apprennent qu'il y a eu un accident le lendemain matin. Je n'aurais pas pu ne pas lui demander sa main en mariage, car j'aurais été rongé toute ma vie par la réponse qu'il m'aurait donné. Il faut oser, oui, mais il ne faut pas être égoïste non plus. J'ai longtemps songé au pourquoi je n'avais plus de parents ; à ce que j'avais fait pour mériter ça. Et rapidement, je compris que je n'avais rien fait ; qu'on avait la vie qu'on avait, et qu'on ne pouvait rien y faire. Nous avons la vie que nous avons, et nous ne pouvons pas la changer. Nous ne pouvons que faire de notre mieux, que ce soit pour voir le bon côté des choses ou pour aider les autres à voir le bon côté des choses.


THE STORY OF MY LIFE


Vous avez déjà entendu parler de Pamela Ilsley ? C'est l'une des criminelles dans la série Batman ; vous savez, la rousse aux gros seins qui contrôle les plantes et crie quand on la bat dans les jeux vidéos. Ouais. Pamela Ilsley. Vous voyez que vous vous souvenez d'elle ! Mais Pamela Ilsley, c'est aussi ma mère. Mon père, lui, se nommait Winter. Sans doute pour illustrer sa personnalité chaleureuse ... À votre place, je n'irais pas chercher plus loin : avec une famille comme la mienne, on finit par n'être surpris par rien au monde. Cette histoire commence par un chien qui s'est fait renverser par la voiture de mes parents, le jour de ma naissance. Elle se termine lorsqu'une voiture comptant deux passagers, un homme et sa femme, se retrouvent dans un brutal et violent accident de la route. C'était l'histoire d'une famille heureuse. C'était censé être mon histoire.


Twenty Years Ago ...
- Allez, Gris ! Fais pas ta chochotte !

La neige tombait à gros flocons. Noël approchait à pas de loups. C'était la saison la plus heureuse pour tous les enfants de la planète : celle où ils pouvaient passer du temps avec leurs parents, s'amuser au coin du feu, construire de fabuleux bonhommes de neige, se battre avec celle-ci, et, ultérieurement, ouvrir leurs cadeaux le lendemain d'un somptueux buffet. J'avais connu des noëls. J'avais connu l'amour de parents. Mais ça ... Ça avait autant de valeur que trois carambars dans une vente aux enchères, à présent.

Orphelin.

Cela faisait deux années que j'étais orphelin. Deux années qu'ils étaient ... Morts. Il fallait se mettre à l'évidence : il n'y avait pas de miracles, dans la vie. On m'avait dit qu'ils étaient dans un monde meilleur ... Mais qu'il aille se faire foutre, ce monde meilleur ! Qu'est-ce que ça me ferait, qu'ils étaient dans un monde meilleur ? Ils avaient fumé quoi, ces voisins ? Alors comme ça, on devait annoncer aux enfants qui venaient de perdre leurs parents qu'ils étaient plus heureux sans eux ?! Tous des imbéciles ...

Oliver Twist.

Pour une raison qui m'échappait, j'avais toujours aimé ce livre ; offert par mes parents lors de mon huitième anniversaire, c'était l'un des derniers souvenirs que j'avais d'eux ... Et certes, je ne comprenais pas tous les mots à l'intérieur. Mais mon père avait toujours voulu que je connaisse son oeuvre préférée comme si c'était moi qui l'avait écrite ... Et même si je n'avais pas aimé le livre, je me serais quand même forcé de le connaître aussi bien que les lignes du terrain de baseball, histoire d'honorer son voeu. Malheureusement, ces crétins semblaient vouloir me déranger.

- Allez, Gris ! Montre nous de quoi t'es capable ! Lèche le poteau !

Ils m'énervaient vraiment, à se croire intelligents ... Leurs parents devaient les avoir lobotomisés avant de les avoir abandonnés ici ... À moins qu'ils ne les aient abandonnés parce qu'ils étaient débiles, tout simplement. Ça, c'en était une, d'idées. En m'attendant, l'un d'entre eux avait commencé, à le lécher, le poteau ... Et évidemment, sa langue y était restée plaquée.

- Typique. dis-je en soupirant avant de claquer fermement mon livre.

Mon écharpe autour du cou, je me dirigeais vers l'orphelinat, à la recherche d'une des surveillantes afin qu'elle puisse régler ce délit : ils étaient peut être stupides, mais ces garçons étaient les seules personnes qui me servaient d'amis, alors autant en prendre soin ... Mais un jour, je savais que j'irais loin, très loin, et que des amis, je m'en ferais d'autres. De meilleurs, et plus important : de plus intelligents. Et cette idée portait depuis maintenant deux ans un énorme sourire à mes lèvres. Encore quelques années, et ce cauchemar serait terminé.

Dehors, la neige tombait à gros flocons. Noël approchait, et les soirées douloureuses sans mes parents et mon petit frère aussi. Thomas. Lui était mort bien avant l'accident ... Mort d'une malformation respiratoire.


Ten Years Ago ...

- Mec, regarde comment elle te matte ! Tu peux pas voir qu'elle veut absolument te pécho ?

- Quoi qu'il en soit, elle ne me plait pas. On peut rentrer maintenant ?

- T'es vraiment pas cool, mec. Ça fait deux ans qu'on essaie de te caser, et y'a toujours aucune nanas qui te plait. T'es sur que t'as un genre de fille, au moins ? Ou t'es juste trop obnubilé par ta petite personne pour pouvoir penser à passer du temps avec une jolie fille ?

- En l'occurence, là, il s'agit d'un thon.

- Tssss' ... T'es vraiment pas drôle, Gris.

Je le fusillai du regard. Pour qui se prenait-il ? Juste parce que je me refusais de coucher avec la première inconnue pour leur faire plaisir, j'étais "pas drôle" ? S'entendaient-ils ? Ne voyaient-ils pas à quel point ils étaient pathétiques ? Enfin bon ... C'est sûr qu'ils n'étaient pas les plus brillants ; cela faisait cinq ans que j'avais compris avoir une attirance plus que prononcée pour les autres hommes, et dix ans qu'eux me connaissaient. Et à les voir aujourd'hui, ils ne semblaient toujours pas l'avoir compris.
La nature a voulu que chaque femme soit le pôle sud magnétique de l'homme ; le pôle qui les attirerait et avec lequel ils seraient unis. Ne voyaient-ils donc pas que je gravitais autour des muscles et des abdos ? Que les seins étaient mon pire cauchemar et les barbes mes nuages ? Que mon pôle sud était le même que mon pôle nord ?

Visiblement, non. Et c'était à moi de leur révéler la vérité ; je me le devais ... Pour ma confiance en moi et ma fierté. Il n'y avait pas de mal, à aimer les hommes, après tout ... Si ? On ne pourrait pas me dire "tu dois aimer les femmes alors on t'enferme dans cette salle jusqu'à ce que tu lui fasse un gosse" ! L'époque des nazis, depuis bien longtemps révolue, a cédé place à un monde plus tolérant, non ? C'est ça ou sinon, je dormais trop pendant mes cours d'histoire et devant les informations.
Non. Je pouvais le faire. Et je savais exactement comment. Là, dans le coin, bien dissimulé des yeux des curieux, se cachait un jeune homme ... Et quel homme en effet. Il me plaisait bien ; il correspondait à mes goûts. Et sans hésiter ni broncher, je plantais donc là Darrek et Terrence afin de marcher le long du bar et d'aller le retrouver.

- Salut. Moi, c'est Harvey.

Fait numéro un ? Ne jamais révéler son véritable prénom à un coup d'un soir. Sait-on jamais. Il me fit un sourire ... Et quel sourire en effet. Joyeux. Heureux. Débordant d'énergie. Et surtout, pété. Cet homme avait pris des substances illicites, ça se voyait dans son regard. Mais je m'en fichais : pour une fois, je ne m'attendais à rien de plus qu'à à un simple baiser. Tournant légèrement de la tête afin de m'assurer que les deux imbéciles me fixaient bien du regard, je pris à deux mais le visage de celui qui, juste avant que je ne fasse ce geste, prononçait son prénom (c'était ... Jake, je crois. Mais je ne m'en rappelle plus très bien : moi non plus, je n'étais pas très net, ce soir là).

Puis, je l'embrassai. Langoureusement. Et oui, avec la langue.

Les deux abrutis m'observaient d'un air ébahi, et sans nul doute se disaient qu'ils se devaient de raconter ça au reste de la bande le lendemain matin. "Le Grand Griswold Harvey Ilsley, qu'on croyait véritable connaisseur en matière de femmes, est en réalité une tapette". Ouais, qu'ils disent ce qu'ils veulent. Je m'en fichais complètement. C'est ma vie, et j'en ferais ce que je voulais. Et sans dire un mot de plus, je quittais le bar, plein de confiance et d'assurance, me promettant de ne plus jamais y remettre les pieds. Sur le chemin de la sortie, j'entendis cependant Darrek et Terrence balbutier :

- Putain, mec ... Là, tu nous en bouches un coin !

- Ouais ! On savait pas du tout !

Émettant un léger ricanement, je ne pris même pas la peine de me retourner avant de disparaître. Les cons resteraient cons, après tout, tout comme je resterais celui que je suis.


Today

- Gris ? Gris ? Dépêche toi, on va être en retard.

Reposant le cadre sur la table, il revint brutalement à la réalité. Il n'avait plus sept ans. Ses parents n'étaient plus en vie. Souvenirs et mémoires de sa vie vécue longeaient étagères et murs de la salle - visiblement, un bureau - dans laquelle il se trouvait. Rapidement, il se remémora le contexte dans lequel il était.
Il s'appellait Grisworld. Il avait trente ans. Il était fiancé à un magnifique jeune homme qui était plus jeune que lui. Le voyant s'approcher, il le prit par les mains avant de le tirer doucement vers lui, lui souriant dans le processus.

Il l'aimait.

Ça, il en était sûr, certain. Il y avait pensé, réfléchi. Il s'était dit que c'était une mauvaise idée. Qu'il s'agissait de son client, et qu'on ne mélangeait jamais affaires et travail. Ça s'était déjà bien assez compliqué à partir du moment où ils avaient commencé à coucher ensemble ; il ne pouvait pas non plus tomber amoureux de lui ! Et pourtant. Quelque chose, dans la manière où ils se faisaient l'amour ... Il y avait quelque chose d'incroyable ; de jamais vu. De divin, même. Comme si son corps était fait pour s'emboîter dans celui d'Ariel. Comme si la petite sirène avait trouvé la bonne queue.
Le tirant donc vers lui, il lui sourit avant de l'embrasser et de reculer vers son bureau en faisant cela, le bras gauche toujours autour de la taille d'Ariel. Il s'assit sur le bureau et laissa Ariel s'avancer, continuant de l'embrasser avec ferveur et passion. C'était plus fort que lui. Il avait beau se dire que ce n'était pas le moment, qu'ils étaient fiancés et qu'Ariel ne partirait nulle part, et donc, qu'ils avaient tout le temps pour se faire l'amour après l'enterrement ... Il ne pouvait tout simplement pas résister à ses désirs et pulsions envers cet homme. Lui caressant les cheveux d'une main, déboutonnant sa chemise de l'autre, il ne cessait pourtant pas d'embrasser le blond autour duquel ses jambes étaient maintenant enroulées.

- Attends ... Tu fais quoi, là ? On va être en retard.

- Je m'en fiche. On ne connaissait même pas ce vieux schnok. Je préfère rester ici, à te satisfaire, que là bas, à voir des momies pleurer ...

Il commençait à déshabiller Ariel, la passion le gagnant davantage. Et puis, l'horloge frappa midi, et, étrangement, il s'arrêta sur sa lancée. Ramassant la cravate qu'il venait de poser à côté de lui et se rhabillant rapidement, il était gêné ; Ariel, quant à lui, semblait désorienté. N'osant se retourner pour le regarder, il se contenta de dire silencieusement :

- Dépêche toi. On va être en retard.

Froid, peut être. Un peu trop, même. Mais c'était parce qu'il détestait perdre le contrôle comme il avait été sur le point de le faire. Ariel le rendait fou ; bestial, même. Ariel lui donnait envie de lui faire l'amour, alors qu'avant de le rencontrer, il aurait pu s'en passer deux semaines d'affillée. Ariel le mettait hors de lui, et il ne pouvait pas perdre le contrôle ... Il ne le pouvait simplement pas, c'était une question de psychologie.
Voyant que l'homme qu'il aimé semblait vexé ou déçu, il rajouta cependant :

- On finira ce qu'on a commencé plus tard.

Avant de sortir et de l'attendre dans sa belle voiture noire.


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BEHIND THE SCREEN


ϟ pseudo Feu Ardent. ϟ prénom F. Je ne dirais rien de plus sans la présence de mon avocat. What a Face ϟ fille ou garçon Garçon (si t'enlèves la cédille ... *jesors.com*). ϟ age 16 Ans. (: ϟ pourquoi vous êtes-vous inscrit sur MC ? On m'a supplié. Ö ϟ comment l'avez-vous connu ? PRD, partenariats & Ariel. I love you ϟ fréquence de connexion 7/7j.ϟ avatar Ryan Cooper. :ponyfly: ϟ pourquoi cet avatar Parce qu'il plaisait bien à Ariel, que je ne l'avais jamais joué et que ça faisait longtemps que je voulais le tester ^^. ϟ statut inventé. ϟ code ici.



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