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 PAUL - strangers eyes.

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Feu Ardent
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Feuille de Superheros/Supervillain - Mutant
Sexe: Masculin
Jauge de vie du Superheros/Supervillain - Mutant:
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MessageSujet: PAUL - strangers eyes.   PAUL - strangers eyes. EmptyVen 30 Aoû - 21:49



Paul Bitemignon
featuring Arthur Kulkov
NOM(S) : Bitemignon. PRÉNOM(S) :  Paul. AGE : 31 ans (19/10). LIEU DE NAISSANCE : Deauville, France. NATIONALITÉ : Français, Norvégien (de par sa mère). ORIGINE(S) : Français, Norvégien. MÉTIER : Gynécologue. ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel. DES SOUCIS DE SANTÉ? : Une légère addiction au jeu ... SITUATION SOCIALE : Marié. SITUATION FINANCIÈRE : Moyenne ... Relativement ... SITUATION FAMILIALE : Un frère jumeau nommé Jean (Jeanjean et Paupaul), un père qui l'a renié aux alentours de son mariage ; une mère décédée lorsqu'il avait cinq ans, assassinée par son amant. PLUS GRAND REVE : Mourir avant ma femme ; avoir un enfant avec elle. PLUS GRAND CAUCHEMAR : Divorcer. VOTRE PROVERBE DE VIE : "Les larmes ne feront pas le travail à notre place."
You know my name...
come on down to front and sit right here and don't be shy
Il est deux heures du matin. Après une soirée bien arrosée, vous rentrez chez vous en prenant le bus. Pour une raison qui échappe à votre esprit embrumé par l'alcool ( si ce n'est une envie de parler très pressante ) vous vous dirigez alors vers le chauffeur et le saluez comme un vieil ami. Ce dernier tourne brièvement la tête vers vous, sourire aux lèvres. Ah, il semble sympa, celui-ci ! Eh bien, on dirait qu'on a bien fait la fête ce soir ! Est-ce que c'était pour une occasion spéciale ? Chic, il a envie de discuter, lui aussi ! Ça fait longtemps que vous n'aviez pas raconté votre vie à quelqu'un.

Euuh ... Bah, écoute ... Si on veut, hein ? répond Paul, engourdi. C'est vrai, en quelque sorte, de plus : ce n'est pas tous les jours que l'on vous annonce que votre femme est incapable de porter un enfant alors que c'est votre seul et unique souhait ... Si ? Non. Ce sont le genre de choses qui n'arrivent qu'une fois dans toute une vie entière. Malheureusement, cette fois venait d'arriver, et Paul n'avait pas trouvé meilleur refuge que sa meilleure amie, Margarita, pour noyer son chagrin, le broyer jusqu'à l'os.

Il vous lance un coup d’œil, pas certain de discerner un petit accent dans votre voix où alors juste une mauvaise élocution en raison de votre état. C'est moi où tu viens pas d'ici ? C'est le moment d'étaler vos expériences dans les pays étrangers.

Un sourire, bref, parcoure ses lèvres. Je croyais que mes quatre années passées à Oxford auraient effacé toutes les traces de mon accent français ... Mais visiblement, non. Tu as bien vu, l'ami. Je viens de France, mais ma mère est de Norvège ... Ça doit sans doute être ça. Un deuxième sourire. Il espère qu'il est aussi crédible que ses propos sont véridiques.

Eh ben, c'est pas moi qui aurais l'occasion de faire ça... après un moment de silence durant lequel seule une musique imaginaire résonne dans votre tête, le chauffeur vous ramène à la réalité d'une voix enjouée. Et sinon, tu fais quoi dans la vie ? T'es marié(e) ?

Il lui demande alors ce qu'il fait dans la vie, ce qui lui coûte un léger rire. Va-t-il répondre sincèrement ou non ? Après une seconde de mure réflexion, il se décide finalement à avouer : Je suis médecin. Oui, marié. Pas d'enfants. Ajoute-t-il finalement sur un ton amer.

Ah oui? Bref. Parles moi plutôt de cette soirée à laquelle tu étais, ou je ne sais plus trop quoi. Qu'est-ce qui t'a fait sortir en plein milieu de semaine tout(e) seule, alors ?

Si je te le disais, tu ne me croirais pas. déclare-t-il alors, question de cultiver le mystère. C'est un mensonge, et il le sait ... Mais mieux vaut mentir que de passer des heures à ressasser sa plus grande déception ... Non ?

Il sourit en coin mais vous êtes totalement incapable de décrypter la signification de ce geste. Est-ce qu’il se moque de vous ? Naaan, pas possible, c’est un mec cool, Manu (s’il s’appelle bien Manu) ! Amigo ! Fais attention, t’es en train de tomber. Va t’asseoir et raconte moi plutôt un truc que je sais pas encore sur toi avant qu’on arrive à ta station. C'est quoi ta plus grande honte ?

Ma plus grande honte ? lui répond-il, pondérant lentement sur la question avant de se décider finalement à la lui avouer ; du moins, l'une de ses plus grandes hontes ... J'ai levé la main sur mon père. Je crois que je ne m'en remettrais jamais ... Mais changeons de sujet.

Vous regardez les bâtiments qui défilent par la fenêtre et commencez à sentir vos membres s’engourdir petit à petit. Tout à coup, vos pensées s’embrouillent et vous soupirez en repensant à un épisode sombre de votre vie. Décrivez la scène qui se déroule dans votre tête.

Reste ici. Jean le regardait, suppliant. Son frère, son jumeau. Celui avec qui il avait tout partagé ... Celui qui lui ressemblait comme deux gouttes d'eau. Et pourtant ... Ils ne se ressemblent plus. Pas depuis le décès de Mary, la jeune irlandaise de qui Jean s'était entiché. Il était devenu méconnaissable, depuis les obsèques. Sombre. Cynique. Acteur de la scène parisienne devenu auteur à succès modéré, il était vite déchu, tombé de haut, sombré dans les doux bras de l'alcool meurtrière. Son visage semblait âgé par le temps, à présent ... Mais non, c'était simplement vodka, gin et whisky qui s'étaient amusées à lui refaire le portrait. Malgré tout, il admirait Paul, plus que tout. Si Jean avait toujours eu plus de succès dans la société et auprès de leur père, son admiration pour Paul avait toujours surpassé toute autre admiration humaine dans le monde d'aujourd'hui. Il était fier de son frère, sorti huit minutes après lui. Lorsque Paul avait été pris dans sa prépa de médecine, qui croyez-vous que c'était qui avait partagé le mot dans le village entier ? C'était Jean. Depuis le décès de Mary, cependant, Jean était devenu dépendant de Paul. Il lui parlait, sans cesse. Et si son frère avait été patient ... S'il avait été là pour lui durant toutes les dernières années de leurs vies respectives, sa rencontre avec Jane l'avait peu à peu séparé de Jean ... Mais ce ne fut qu'à son mariage avec elle que sa relation avec Jean ne se détériora une bonne fois pour toutes. Ils allaient déménager. Los Angeles, USA. Ils allaient partir, loin, loin d'ici ... Et Jean ne serait qu'un souvenir lointain. effacé. Reste, je t'en prie ... Mais Paul ne pouvait plus s'occuper de son double. Il devait vivre sa vie pour lui, et non pour sa famille. Je ne peux pas. avait-il donc répondu, sa voix voilée par une pointe de tristesse. Il savait qu'il venait de décevoir Jean. Il savait qu'il venait de détruire son univers. Mais il ne pouvait pas le laisser détruire le sien, le cas contraire ... Et c'est ainsi devenu l'un des plus grands regrets de Paul. Il n'oubliera jamais les derniers mots que Jean lui a prononcé, ce jour là. Je ne te le pardonnerais jamais, Paul. J'ai besoin de toi, moi. Je croyais qu'on était frères, putain ! Mais non. Tu me laisse tomber pour la première traînée que tu croises. Des mots qui l'avaient grandement blessé, à tout jamais.

Deux minutes plus tard, vous vous êtes assoupi. Ce n’est qu’une demi-heure plus tard que le chauffeur vient vous réveiller pour vous annoncer qu’il est arrivé au terminus et qu’il vous faut descendre… t’as pas l’air en forme, toi. Si tu veux, je peux te garder chez moi jusqu’à demain ou te ramener en voiture si tu ne vis pas trop loin ?

Non, ça ira, merci. Il sourit, puis se dirige vers la sortie du bus. Jane dort elle ? C'est là la question du jour. Il le découvrirait une fois qu'il aura franchi le pallier.
Not my story.
this is my life and I'm still trying to figure out how that could be.
Des bribes. Échos d'un passé lointain et distant, qui lui reviennent, à allure vertigineuse. Allongé, il ferait bien de ne pas se lever, sous risque de vaciller sous le poids de souvenirs qui s'éprennent de lui, l'envahissent, comme les Nazis en France, tant d'années auparavant. Des souvenirs dont il ne voudrait plus avoir à se rappeler. Des pensées trop douloureuses. Sa famille ... Quelle famille ? Elle n'existe plus, pour lui. Ou plutôt, Paul n'existe plus à leurs yeux. Renié par son père. Désapprouvé par son frère. Vers qui peut-il se tourner ? Personne. Personne sauf sa femme. Jane dort, paisiblement, à ses côtés. Il sourit, faiblement. Sa simple présence le rassure, mais ce n'est pas assez. Jamais. Ce ne sera jamais assez, et malheureusement, il le sait. Tourmenté par un mal dont il ne saurait trouver l'origine, la cause, et dont les conséquences ne se révèlent que trop tardivement à ses yeux, Paul est perdu. Ce soir, c'est leur lune de miel. Après deux années passées à se courtiser, à se chercher, voilà qu'ils avaient enfin sauté le pas et "re-serré le noeud" comme dirait les expressions américaines. Il n'oubliera jamais cette conversation nocturne partagée avec son père, aussi longtemps que ses souffles parcourraient le cou de sa femme. Hanté par son souvenir, tétanisé par ces derniers mots, leur entretien final restera à tout jamais gravé dans ses souvenirs.
____________________

" Tu ne peux pas l'épouser ! Je te l'interdis ! " Dents serrées, poings refermés, il comptait bien la défier, cette autorité. Celle de cet homme sans foi ni loi, assoiffé de pouvoir autant que d'argent, fortuné par le destin mais appauvri par la Nature. Et pourtant ... Jacques Bitemignon n'était pas un mauvais homme, et avec un minimum de recul, Paul l'aurait admis, sans aucun soucis. Cette nuit là, cependant, il s'était agi d'autre chose ... Cette nuit là, il s'était agi de la femme qu'il aimait, et si Paul ne tolérerait pas une chose, une seule, c'est que quiconque vienne s'interposer entre lui et le bonheur, le véritable. L'amour au grand "A", celui qui n'arrive qu'une fois, comme on dit.

" Je ferais ce que bon me semble. À ce que je sache, je ne t'appartiens pas. " Avait-il donc répondu, au ton le plus naturel possible ; sur le plus grand des calmes, et ce, malgré les ébullitions qui se produisaient au même instant dans son sang bouillonnant de rage. Homme accompli depuis maintenant trois années, la simple pensée que son père tenterait d'exercer le moindre contrôle sur lui lui semblait à la fois absurde et irrespectueux. Il avait, après tout, trente ans. N'était-il pas capable de faire les bons choix pour lui-même ? Visiblement, non. " J'épouserai Jane, que ça te plaise ou non. Fin de la discussion. "

Il s'était apprêté à quitter de ce pas la demeure de son père afin de rejoindre sa femme dans leur hôtel lorsque celui-ci se leva subitement, pas si torturé par ses rhumatismes qu'il ne l'avait laissé entendre à ses deux fils. " Paul ... Attends ... " Se retournant une dernière fois, le fils regarda le père dans les yeux, incertain de comprendre quel était la raison pour laquelle celui-ci l'avait sermonné jusqu'ici à une heure si tardive, ayant insisté de le voir "seul à seul, père à fils". Il était encore sous le choc, en fait. Encore incapable de croire que son père - son propre père, qu'il avait toujours respecté et adoré au dessus de toute autre chose terrestre - aurait envie de détruire son bonheur avec tant de ferveur, d'enthousiasme, et d'acharnement. " Tu ne vas pas sérieusement me dire que tu comptes gâcher ta vie à épouser cette femme de peu de vertu ? " Lui demanda-t-il finalement, inquiet. Furieux, les pupilles de Paul se dilatèrent alors sur le coup. Repoussant violemment la main de son géniteur, il siffla les simples mots : " Je suis enchanté de voir ce que mon père pense de mon choix de femme. Je sais que tu n'as jamais particulièrement apprécié Jane, mais de là à en venir à ... Tout ça ... C'est malsain ! " Comme pour illustrer ses propos, il leva une main en direction de la table basse installée près du canapé sur lequel ils étaient tous deux assis de simples moments auparavant. Table basse sur laquelle se trouvait une multitude de documents compromettants au sujet de sa fiancée, notamment sur son passé douteux ainsi que sur l'accessibilité de son corps. " Ne me dis pas que tu comptes épouser une menteuse ! " Défiant, les sourcils du fils se froncèrent tandis qu'il déclara, entre ses dents que " Jane ne m'a jamais menti. J'étais au courant de toute cette histoire dès nos débuts. " C'était faux, terriblement faux, et il comptait bien lui demander des explications, une fois rentré à l'hôtel, mais ça, ça ne regardait pas le grand "Monsieur Jacques". Du moins, pas aux yeux de son fils. Quoi qu'il advienne, il aimait Jane, d'un amour profond et sain. Le genre d'amour qui déplace monts, mers et océans. Le genre d'amour qui pousse les gens à franchir des barrières enflâmées. Des filles, il en avait connu, dans sa vie. Grandes, petites, belles, moins gâtées, blondes, rousses ... Il sortait d'un couple de cinq ans, lorsqu'il avait rencontré Jane. Et s'il l'épousait après si peu de temps, c'était bien parce qu'il le savait. Il savait que quelque chose était différent, avec elle. Que c'était l'élue. Celle à qui son coeur avait offert sa clef pour l'éternité.

" Le mariage aura lieu demain, comme prévu. Suis-je clair ? " Demanda-t-il finalement à son père sur un ton glacial, suite à quoi le vieil homme répondit simplement par un : " Comme du crystal. Mais ne t'attends pas à m'y voir. Je ne me rabaisserais pas au  niveau d'assister à une telle travestie. Et tu peux dire à ta catin que ni elle, ni toi, ne sont les bienvenus dans cette maison dès à présent. Un poing pourfendit alors les airs, s'écrasant dans la joue du vieillard qui trébucha sous le choc et manqua de s'étaler de tout son long par terre. Rattrapé de justesse par son fils, celui-ci l'aida à s'asseoir sur le canapé avant de clore leur conversation des plus mouvementées par une simple phrase résumant tout. " Alors je n'ai plus de père. Mais un jour viendra où tu regretteras cette décision, et ce jour là, tu peux être certain que je ne répondrais pas à tes appels. Monsieur Jacques. Et c'est ainsi qu'il s'engouffra à l'extérieur, dans la douce brise estivale, malgré le dernier cri de protestation de son père, qui le maudissait et le menaçait en disant qu'il regretterait la façon déplorable dont il l'avait traité toute sa vie. Il n'avait pas tort, mais des deux, Jacques pleurerait davantage le schisme entre père et fils que Paul. Car malgré les menaces de son père, sa femme ne le quitterait pas de sitôt. Mais comment aurait-il pu le savoir, ce soir où tout son univers s'était retourné sans dessus-dessous ?

" Tu m'as menti ! " s'était-il exclamé à l'hôtel, suite à quoi de nombreux aveux prirent place.

Mais Bitemignon ne veut pas y penser, cette nuit. Se tournant vers Jane, il passe un bras autour de sa taille, l'embrassant délicatement dans le creux du cou. Elle dort, à poings fermés, et c'est tout ce qui compte, à ses yeux. L'aimer ... Oh que oui, il l'aimerait. C'était bien ça, ce qu'il lui avait promis, quelques semaines auparavant, non ? Et il honorerait cette promesse, quelle qu'en soit son prix. Car Paul était un homme d'honneur, et les hommes d'honneur respectent toujours leurs engagements. Toujours. Sur ces pensées tendres, il s'assoupit à son tour, sa tête logée contre l'épaule de sa dulcinée. La nuit a été mouvementée, pour en dire le moins ... Et pourtant, c'est elle qui avait rejoint Morphée la première. Lui était trop occupé à ressasser son passé. Maintenant que c'est fait, cependant ... Paul peut lui aussi dormir à poings fermés.

Behind the character.
better drink my own piss
PRÉNOM : asdfghjkl. PSEUDO : asdfghjkl. ÂGE : ∞. PRÉSENCE : 3/7. NIVEAU RP : Disons 15-16/20. OÙ AVEZ-VOUS TROUVÉ LE FORUM ? Par Calamity Jane. :perv: COMMENT LE TROUVEZ-VOUS ? Nickel Chrome Google Chrome. ANCIEN MEMBRE DE FRAT ? SI OUI, QUI (nom + avatar) ? /. GROUPE SOUHAITÉ : Les Habitants.  POSTE VACANT OU PERSONNAGE INVENTÉ ? (si PV, mettre le lien menant au poste vacant ; idem avec les scénarios) : Inventé. VOTRE PLUS GRANDE PEUR VIS-À-VIS DE FRATERNITIES : L'intégration de mon personnage un brin particulier ... Écartez vos jambes, mesdemoiselles, et tout se passera (normalement) bien. UN DERNIER MOT ♥ ? Perv.
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MessageSujet: Re: PAUL - strangers eyes.   PAUL - strangers eyes. EmptyJeu 27 Fév - 16:19

PAUL BITEMIGNON
« you made me feel as if my worth was nothing against yours. »


carte citoyen de los angeles
featuring Arthur Kulkov
NOM(S) : Bitemignon.
PRÉNOM(S) : Paul.
ÂGE : 31 ans (19/10).
LIEU DE NAISSANCE : Deauville, France.
NATIONALITÉ : Françaises, Norvégiennes (de par sa mère).
ORIGINE(S) : Françaises, Norvégiennes.
MÉTIER : Gynécologue.
EXERCÉ DEPUIS : 3 ans.
ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel.
DES SOUCIS DE SANTÉ ? : Une légère addiction au jeu ...
SITUATION SOCIALE : Déserté par sa femme.
SITUATION FINANCIÈRE : Moyenne ... Relativement ...
SITUATION FAMILIALE : Un frère jumeau nommé Jean (Jeanjean et Paupaul), un père qui l'a renié aux alentours de son mariage ; une mère décédée lorsqu'il avait cinq ans, assassinée par son amant.
PLUS GRAND RÊVE : Le bonheur.
PLUS GRAND CAUCHEMAR : Sa femme l'a déserté, que pourrait-il vivre de pire que cela ?
UNE HISTOIRE INTÉRESSANTE À SAVOIR SUR VOUS ? Il a choisi le mariage avant l'héritage ; maintenant, il ne lui reste plus rien.
VOTRE PLUS GRAND DÉLIT : Il a triché à l'une de ses épreuves de médecine. Si c'était lors de sa première année et n'a plus de grandes conséquences à l'heure actuelle, il ne l'oubliera jamais pour autant.
VOTRE PLUS GRAND SECRET : Son addiction au jeu.
VOTRE PROVERBE DE VIE : "Les larmes ne feront pas le travail à notre place."

PAUL
INTERVIEW AVEC L'ADJOINTE AU DOYEN
« she said carpe diem, and just sat there and stared at me. »


EN OCTOBRE 2013.

Il est deux heures du matin. Après une soirée bien arrosée, vous rentrez chez vous en prenant le bus. Pour une raison qui échappe à votre esprit embrumé par l'alcool ( si ce n'est une envie de parler très pressante ) vous vous dirigez alors vers le chauffeur et le saluez comme un vieil ami. Ce dernier tourne brièvement la tête vers vous, sourire aux lèvres. Ah, il semble sympa, celui-ci ! Eh bien, on dirait qu'on a bien fait la fête ce soir ! Est-ce que c'était pour une occasion spéciale ? Chic, il a envie de discuter, lui aussi ! Ça fait longtemps que vous n'aviez pas raconté votre vie à quelqu'un.


Euuh ... Bah, écoute ... Si on veut, hein ? répond Paul, engourdi. C'est vrai, en quelque sorte, de plus : ce n'est pas tous les jours que l'on vous annonce que votre femme est incapable de porter un enfant alors que c'est votre seul et unique souhait ... Si ? Non. Ce sont le genre de choses qui n'arrivent qu'une fois dans toute une vie entière. Malheureusement, cette fois venait d'arriver, et Paul n'avait pas trouvé meilleur refuge que sa meilleure amie, Margarita, pour noyer son chagrin, le broyer jusqu'à l'os.

Il vous lance un coup d’œil, pas certain de discerner un petit accent dans votre voix où alors juste une mauvaise élocution en raison de votre état. C'est moi où tu viens pas d'ici ? C'est le moment d'étaler vos expériences dans les pays étrangers.

Un sourire, bref, parcoure ses lèvres. Je croyais que mes quatre années passées à Oxford auraient effacé toutes les traces de mon accent français ... Mais visiblement, non. Tu as bien vu, l'ami. Je viens de France, mais ma mère est de Norvège ... Ça doit sans doute être ça. Un deuxième sourire. Il espère qu'il est aussi crédible que ses propos sont véridiques.

Eh ben, c'est pas moi qui aurais l'occasion de faire ça... après un moment de silence durant lequel seule une musique imaginaire résonne dans votre tête, le chauffeur vous ramène à la réalité d'une voix enjouée. Et sinon, tu fais quoi dans la vie ? T'es marié(e) ?

Il lui demande alors ce qu'il fait dans la vie, ce qui lui coûte un léger rire. Va-t-il répondre sincèrement ou non ? Après une seconde de mure réflexion, il se décide finalement à avouer : Je suis médecin. Oui, marié. Pas d'enfants. Ajoute-t-il finalement sur un ton amer.

Ah oui? Bref. Parles moi plutôt de cette soirée à laquelle tu étais, ou je ne sais plus trop quoi. Qu'est-ce qui t'a fait sortir en plein milieu de semaine tout(e) seule, alors ?

Si je te le disais, tu ne me croirais pas. déclare-t-il alors, question de cultiver le mystère. C'est un mensonge, et il le sait ... Mais mieux vaut mentir que de passer des heures à ressasser sa plus grande déception ... Non ?

Il sourit en coin mais vous êtes totalement incapable de décrypter la signification de ce geste. Est-ce qu’il se moque de vous ? Naaan, pas possible, c’est un mec cool, Manu (s’il s’appelle bien Manu) ! Amigo ! Fais attention, t’es en train de tomber. Va t’asseoir et raconte moi plutôt un truc que je sais pas encore sur toi avant qu’on arrive à ta station. C'est quoi ta plus grande honte ?

Ma plus grande honte ? lui répond-il, pondérant lentement sur la question avant de se décider finalement à la lui avouer ; du moins, l'une de ses plus grandes hontes ... J'ai levé la main sur mon père. Je crois que je ne m'en remettrais jamais ... Mais changeons de sujet.

Vous regardez les bâtiments qui défilent par la fenêtre et commencez à sentir vos membres s’engourdir petit à petit. Tout à coup, vos pensées s’embrouillent et vous soupirez en repensant à un épisode sombre de votre vie. Décrivez la scène qui se déroule dans votre tête.

Reste ici. Jean le regardait, suppliant. Son frère, son jumeau. Celui avec qui il avait tout partagé ... Celui qui lui ressemblait comme deux gouttes d'eau. Et pourtant ... Ils ne se ressemblent plus. Pas depuis le décès de Mary, la jeune irlandaise de qui Jean s'était entiché. Il était devenu méconnaissable, depuis les obsèques. Sombre. Cynique. Acteur de la scène parisienne devenu auteur à succès modéré, il était vite déchu, tombé de haut, sombré dans les doux bras de l'alcool meurtrière. Son visage semblait âgé par le temps, à présent ... Mais non, c'était simplement vodka, gin et whisky qui s'étaient amusées à lui refaire le portrait. Malgré tout, il admirait Paul, plus que tout. Si Jean avait toujours eu plus de succès dans la société et auprès de leur père, son admiration pour Paul avait toujours surpassé toute autre admiration humaine dans le monde d'aujourd'hui. Il était fier de son frère, sorti huit minutes après lui. Lorsque Paul avait été pris dans sa prépa de médecine, qui croyez-vous que c'était qui avait partagé le mot dans le village entier ? C'était Jean. Depuis le décès de Mary, cependant, Jean était devenu dépendant de Paul. Il lui parlait, sans cesse. Et si son frère avait été patient ... S'il avait été là pour lui durant toutes les dernières années de leurs vies respectives, sa rencontre avec Jane l'avait peu à peu séparé de Jean ... Mais ce ne fut qu'à son mariage avec elle que sa relation avec Jean ne se détériora une bonne fois pour toutes. Ils allaient déménager. Los Angeles, USA. Ils allaient partir, loin, loin d'ici ... Et Jean ne serait qu'un souvenir lointain. effacé. Reste, je t'en prie ... Mais Paul ne pouvait plus s'occuper de son double. Il devait vivre sa vie pour lui, et non pour sa famille. Je ne peux pas. avait-il donc répondu, sa voix voilée par une pointe de tristesse. Il savait qu'il venait de décevoir Jean. Il savait qu'il venait de détruire son univers. Mais il ne pouvait pas le laisser détruire le sien, le cas contraire ... Et c'est ainsi devenu l'un des plus grands regrets de Paul. Il n'oubliera jamais les derniers mots que Jean lui a prononcé, ce jour là. Je ne te le pardonnerais jamais, Paul. J'ai besoin de toi, moi. Je croyais qu'on était frères, putain ! Mais non. Tu me laisse tomber pour la première traînée que tu croises. Des mots qui l'avaient grandement blessé, à tout jamais.

Deux minutes plus tard, vous vous êtes assoupi. Ce n’est qu’une demi-heure plus tard que le chauffeur vient vous réveiller pour vous annoncer qu’il est arrivé au terminus et qu’il vous faut descendre… t’as pas l’air en forme, toi. Si tu veux, je peux te garder chez moi jusqu’à demain ou te ramener en voiture si tu ne vis pas trop loin ?

Non, ça ira, merci. Il sourit, puis se dirige vers la sortie du bus. Jane dort elle ? C'est là la question du jour. Il le découvrirait une fois qu'il aura franchi le pallier.
DERRIÈRE L'ÉCRAN
« we should all have a face whenever we look into the mirror. »



ASDFGHJKL
PRÉNOM : asdfghjkl. PSEUDO : asdfghjkl. ÂGE : ∞. PRÉSENCE : 3/7. NIVEAU DE RP : Disons 15-16/20. OÙ AVEZ-VOUS TROUVÉ LE FORUM ? Par Calamity Jane. :perv:COMMENT LE TROUVEZ-VOUS ? Nickel Chrome Google Chrome. ANCIEN MEMBRE DE FRAT ? SI OUI, QUI (nom + avatar) ? /. GROUPE SOUHAITÉ : Les Habitants. POSTE VACANT OU PERSONNAGE INVENTÉ ? (si PV, mettre le lien menant au poste vacant ; idem avec les scénarios) : Inventé. VOTRE PLUS GRANDE PEUR VIS-À-VIS DE FRATERNITIES : L'intégration de mon personnage un brin particulier ... Écartez vos jambes, mesdemoiselles, et tout se passera (normalement) bien. UN DERNIER MOT ♥ ? Perv.

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MessageSujet: Re: PAUL - strangers eyes.   PAUL - strangers eyes. EmptyJeu 27 Fév - 16:21

L'HISTOIRE D'UNE VIE ... LA TIENNE, OUI !
« you made me feel as if my worth was nothing against yours. »


SOMEWHERE ONLY WE KNOW.

Des bribes. Échos d'un passé lointain et distant, qui lui reviennent, à allure vertigineuse. Allongé, il ferait bien de ne pas se lever, sous risque de vaciller sous le poids de souvenirs qui s'éprennent de lui, l'envahissent, comme les Nazis en France, tant d'années auparavant. Des souvenirs dont il ne voudrait plus avoir à se rappeler. Des pensées trop douloureuses. Sa famille ... Quelle famille ? Elle n'existe plus, pour lui. Ou plutôt, Paul n'existe plus à leurs yeux. Renié par son père. Désapprouvé par son frère. Vers qui peut-il se tourner ? Personne. Personne sauf sa femme. Jane dort, paisiblement, à ses côtés. Il sourit, faiblement. Sa simple présence le rassure, mais ce n'est pas assez. Jamais. Ce ne sera jamais assez, et malheureusement, il le sait. Tourmenté par un mal dont il ne saurait trouver l'origine, la cause, et dont les conséquences ne se révèlent que trop tardivement à ses yeux, Paul est perdu. Ce soir, c'est leur lune de miel. Après deux années passées à se courtiser, à se chercher, voilà qu'ils avaient enfin sauté le pas et "re-serré le noeud" comme dirait les expressions américaines. Il n'oubliera jamais cette conversation nocturne partagée avec son père, aussi longtemps que ses souffles parcourraient le cou de sa femme. Hanté par son souvenir, tétanisé par ces derniers mots, leur entretien final restera à tout jamais gravé dans ses souvenirs.
____________________

" Tu ne peux pas l'épouser ! Je te l'interdis ! " Dents serrées, poings refermés, il comptait bien la défier, cette autorité. Celle de cet homme sans foi ni loi, assoiffé de pouvoir autant que d'argent, fortuné par le destin mais appauvri par la Nature. Et pourtant ... Jacques Bitemignon n'était pas un mauvais homme, et avec un minimum de recul, Paul l'aurait admis, sans aucun soucis. Cette nuit là, cependant, il s'était agi d'autre chose ... Cette nuit là, il s'était agi de la femme qu'il aimait, et si Paul ne tolérerait pas une chose, une seule, c'est que quiconque vienne s'interposer entre lui et le bonheur, le véritable. L'amour au grand "A", celui qui n'arrive qu'une fois, comme on dit.

" Je ferais ce que bon me semble. À ce que je sache, je ne t'appartiens pas. " Avait-il donc répondu, au ton le plus naturel possible ; sur le plus grand des calmes, et ce, malgré les ébullitions qui se produisaient au même instant dans son sang bouillonnant de rage. Homme accompli depuis maintenant trois années, la simple pensée que son père tenterait d'exercer le moindre contrôle sur lui lui semblait à la fois absurde et irrespectueux. Il avait, après tout, trente ans. N'était-il pas capable de faire les bons choix pour lui-même ? Visiblement, non. " J'épouserai Jane, que ça te plaise ou non. Fin de la discussion. "

Il s'était apprêté à quitter de ce pas la demeure de son père afin de rejoindre sa femme dans leur hôtel lorsque celui-ci se leva subitement, pas si torturé par ses rhumatismes qu'il ne l'avait laissé entendre à ses deux fils. " Paul ... Attends ... " Se retournant une dernière fois, le fils regarda le père dans les yeux, incertain de comprendre quel était la raison pour laquelle celui-ci l'avait sermonné jusqu'ici à une heure si tardive, ayant insisté de le voir "seul à seul, père à fils". Il était encore sous le choc, en fait. Encore incapable de croire que son père - son propre père, qu'il avait toujours respecté et adoré au dessus de toute autre chose terrestre - aurait envie de détruire son bonheur avec tant de ferveur, d'enthousiasme, et d'acharnement. " Tu ne vas pas sérieusement me dire que tu comptes gâcher ta vie à épouser cette femme de peu de vertu ? " Lui demanda-t-il finalement, inquiet. Furieux, les pupilles de Paul se dilatèrent alors sur le coup. Repoussant violemment la main de son géniteur, il siffla les simples mots : " Je suis enchanté de voir ce que mon père pense de mon choix de femme. Je sais que tu n'as jamais particulièrement apprécié Jane, mais de là à en venir à ... Tout ça ... C'est malsain ! " Comme pour illustrer ses propos, il leva une main en direction de la table basse installée près du canapé sur lequel ils étaient tous deux assis de simples moments auparavant. Table basse sur laquelle se trouvait une multitude de documents compromettants au sujet de sa fiancée, notamment sur son passé douteux ainsi que sur l'accessibilité de son corps. " Ne me dis pas que tu comptes épouser une menteuse ! " Défiant, les sourcils du fils se froncèrent tandis qu'il déclara, entre ses dents que " Jane ne m'a jamais menti. J'étais au courant de toute cette histoire dès nos débuts. " C'était faux, terriblement faux, et il comptait bien lui demander des explications, une fois rentré à l'hôtel, mais ça, ça ne regardait pas le grand "Monsieur Jacques". Du moins, pas aux yeux de son fils. Quoi qu'il advienne, il aimait Jane, d'un amour profond et sain. Le genre d'amour qui déplace monts, mers et océans. Le genre d'amour qui pousse les gens à franchir des barrières enflâmées. Des filles, il en avait connu, dans sa vie. Grandes, petites, belles, moins gâtées, blondes, rousses ... Il sortait d'un couple de cinq ans, lorsqu'il avait rencontré Jane. Et s'il l'épousait après si peu de temps, c'était bien parce qu'il le savait. Il savait que quelque chose était différent, avec elle. Que c'était l'élue. Celle à qui son coeur avait offert sa clef pour l'éternité.

" Le mariage aura lieu demain, comme prévu. Suis-je clair ? " Demanda-t-il finalement à son père sur un ton glacial, suite à quoi le vieil homme répondit simplement par un : " Comme du crystal. Mais ne t'attends pas à m'y voir. Je ne me rabaisserais pas au niveau d'assister à une telle travestie. Et tu peux dire à ta catin que ni elle, ni toi, ne sont les bienvenus dans cette maison dès à présent. Un poing pourfendit alors les airs, s'écrasant dans la joue du vieillard qui trébucha sous le choc et manqua de s'étaler de tout son long par terre. Rattrapé de justesse par son fils, celui-ci l'aida à s'asseoir sur le canapé avant de clore leur conversation des plus mouvementées par une simple phrase résumant tout. " Alors je n'ai plus de père. Mais un jour viendra où tu regretteras cette décision, et ce jour là, tu peux être certain que je ne répondrais pas à tes appels. Monsieur Jacques. Et c'est ainsi qu'il s'engouffra à l'extérieur, dans la douce brise estivale, malgré le dernier cri de protestation de son père, qui le maudissait et le menaçait en disant qu'il regretterait la façon déplorable dont il l'avait traité toute sa vie. Il n'avait pas tort, mais des deux, Jacques pleurerait davantage le schisme entre père et fils que Paul. Car malgré les menaces de son père, sa femme ne le quitterait pas de sitôt. Mais comment aurait-il pu le savoir, ce soir où tout son univers s'était retourné sans dessus-dessous ?

" Tu m'as menti ! " s'était-il exclamé à l'hôtel, suite à quoi de nombreux aveux prirent place.

Mais Bitemignon ne veut pas y penser, cette nuit. Se tournant vers Jane, il passe un bras autour de sa taille, l'embrassant délicatement dans le creux du cou. Elle dort, à poings fermés, et c'est tout ce qui compte, à ses yeux. L'aimer ... Oh que oui, il l'aimerait. C'était bien ça, ce qu'il lui avait promis, quelques semaines auparavant, non ? Et il honorerait cette promesse, quelle qu'en soit son prix. Car Paul était un homme d'honneur, et les hommes d'honneur respectent toujours leurs engagements. Toujours. Sur ces pensées tendres, il s'assoupit à son tour, sa tête logée contre l'épaule de sa dulcinée. La nuit a été mouvementée, pour en dire le moins ... Et pourtant, c'est elle qui avait rejoint Morphée la première. Lui était trop occupé à ressasser son passé. Maintenant que c'est fait, cependant ... Paul peut lui aussi dormir à poings fermés.

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