Hi there sweets,

You're probably going to murder me for this but IDGAF, I gots free time and caring to spare and there's a fucking pandemic out there so get your chair because I'm gonna make sure you know that I care.

First things first,



I know the world is super weird and random since the coronavirus and lockdowns and what not and I know you live all alone in your tiny studio so I just wanted to make sure you didn't feel too lonely on your special day. I'm terrible with numbers so don't test me on this bc I have no fucking clue how old you are now (isn't it 33? you said something about 32 the other day ...) but yeah, Happy Birthday.

Thanks for being ... You ?

Amazing, incredible, supportive, creative, dramatic, crazy, over the top, sweet, understanding ... The list goes on and I think raphs is working on a longer one still so I'll let her shower you with compliments (by the time you read this, you will have received that list, hopefully in a pretty and printable pdf if I find the time). 🤭

It's kind of hard to really express these things, especially through writing but just ... Thanks for being so amazing and for making such wonderful company. Seriously, I hope you know how valued, treasured and enjoyed your company is. Daytime chats, lunchtime chats, evening chats, nighttime chats ... Just wonderful, awesome, perfect, thank you.

Which brings us to the main bit: I know Raphs and I already gave you your gifts but I thought you deserved a little something extra, and SSV themed (sue me). So here goes.

First things first, another screensaver with most of your SSV hoes on it, because even though you might not ever even use these I was having too much fun and so there you go.

(click to open in full)



And because jamais deux sans trois, and because we can agree to disagree that Rusty and Germaine are 🥵🥵🥵, a couple of Germusty-themed iPhone screensavers (and the numbers at the top of the screen shouldn't get in the way of the sexy bits hehe). A bit too NSFW probably, but whatever.

(again, click to expand)



And finally, on to the main course ...

Three special RPs just for your eyes only, because a birthday without smut is not a birthday worth living in my book.

Again, you're amazing. Thanks so much for being you. Please don't be hard on yourself, please don't self-deprecate (ever), and especially not today.

YOU. ARE. PERFECT.

I know things are tough right now but I just hope you can have a special day and that you know that there is a lot of magic inside of you and that the world is lucky to have you in it. 🥺 We may have only met a year ago but I hope we can keep writing these magical stories for many more. :face_with_hand_over_mouth:

Happy birthday, sweets, from your crazy co-founder

Story 1.

Rusty + Germaine.

________________________

Laissant ses doigts se perdre distraitement le long des bras immobiles de Germaine, Rusty observe silencieusement le brun. Pourtant habitué à se réveiller longtemps après le départ du dealer, le blond se retrouve, pour une fois, éveillé étrangement tôt.

Respirant silencieusement, Rusty repense aux ébats furieux de la veille et au visage que Germaine lui avait présenté. Si les choses entre eux avaient toujours été particulièrement farouches et intenses, un nouveau niveau avait été atteint la veille, aux yeux de l'Américain – un niveau dont il se sentait incapable de redescendre, désormais (et dont il n'avait, de toutes manières, aucune envie de redescendre).

Il a mal au cul.

Cela fait désormais plusieurs semaines que le blond ne parvient plus à s'asseoir correctement (depuis le fameux 14 février qui n'était qu'un 14 du mois comme les autres) compte tenu de toutes les sauces auxquelles Germaine l'avait enculé depuis. La tête dans le frigo. Le dos contre le carrelage de la douche. Les genoux brûlés contre la moquette rêche et rugueuse. Les cuisses écartées en l'air, tel un gymnaste.

Tous les jours, parfois plusieurs fois, le blond s'était surpris à recevoir Germaine en lui et à le chevaucher ou à se baiser sur son pieu jusqu'à ne plus pouvoir en supporter davantage – pour recommencer, pas plus rapidement que cinq minutes plus tard, incapable de survivre sans sa dose régulière du foutre brûlant et coulant du brun.

Il en était même venu à oublier que Germaine avait un « chez soi », compte tenu de toutes les façons dont il avait « marqué son territoire » chez Rusty: la deuxième brosse à dents dans le gobelet du lavabo, les vêtements abandonnés sur un pan de son canapé, le porte-feuille du brun négligemment oublié sur la table de la cuisine, presque comme s'il faisait confiance à Rusty avec son argent. Et surtout, toutes les tâches de foutre oubliées sur son mobilier, de ses draps à son canapé, sans oublier son rideau.

Le blond profite de la torpeur du brun pour se perdre dans ses fantasmes et dans ses idées folles.

« Tu ne devrais jamais repartir. » affirme-t-il, d'un ton mi-railleur, tout en pensant sincèrement chacun de ses mots. Aux yeux de Rusty, il n'aurait besoin de rien de plus, en réalité: tant qu'il a un toit sur la tête, des pintes à avaler, de quoi se mettre sous la dent et la queue du brun sur laquelle s'asseoir, il se révèlerait être le plus heureux des hommes.

S'avançant doucement vers le brun, le blond finit par l'embrasser, plutôt timidement, conscient qu'il risquerait de ne pas obtenir la giclée qu'il anticipe tant s'il ne ménageait pas sa monture. Il avait d'ailleurs été tenté d'attendre plus longtemps, compte tenu du peu de sommeil qu'ils avaient tous deux obtenu, la veille, mais Rusty a trop besoin de la queue du dealer pour pouvoir attendre davantage. S'il désirait dormir, il n'aurait qu'à y retourner ... Mais uniquement après lui avoir limé le cul avec sauvagerie et ténacité.

**20 minutes later**

À genoux sur le bord du matelas, le cul bombé en l'air, Rusty s'appuie fermement contre le lit avec les paumes de ses mains. Les yeux bandés, et la fameuse laisse achetée exclusivement pour Germaine autour de son cou, le blond attend impatiemment, avec anticipation, que son dealer s'introduise de nouveau en lui et le défoncer, comme il avait défoncé sa porte, la dernière fois que chez lui, il s'était introduit avec rage et fureur énervée. Ça, ça avait été une bonne baise, et la prostate du blond frémit déjà à l'idée de pouvoir surpasser ce souvenir avec une nouvelle séquence de baise bien chaude et torride sous les coups de reins tendrement violents de Germaine.

Guestlist ideas: Marlon, Robbie, Alma, Lukas, Sam, Ernst, Lazare, any of the other rich baes you have in your stock boo.
__________

Privatisé pour la soirée, le Hall du Great Southwest se retrouve verrouillé pour toute personne incapable d'y présenter son carton d'invitation rare et exclusif.

Citation :

Cher Invité,

Bienvenue au bénéfice de charité annuel du Great Southwestern.

Atrium,
Mercredi 10 Mars 2021,
19:30.

Tapissées de nappes en velours rouge, les dizaines de tables qui jonchent le parquet d'ébène de la salle définissent chacune l'emplacement des différents invités de la soirée. Au coeur de la salle, une scène circulaire, sur laquelle trône une cage d'oiseau dorée grandeur nature.

Assis au fond de la salle, un cigare cubain entre les lèvres, Lukas observe silencieusement la scène, tout en consultant le « catalogue » qu'il avait soigneusement organisé pour son évènement annuel: une collection des plus beaux bijoux de son établissement, dont, bien évidemment, ses favoris de la saison.

Parmi les photos imprimées sur la feuille, les visages de Robbie Vega, Sam Lovecock, Marlon Fletcher et PSEUDO se démarquent particulièrement. L'idée de partager ses joyaux avec d'autres hommes, potentiellement plus riches que lui, l'emplit de rage – et c'est justement pour ça qu'il se doit d'organiser cette enchère, tous les ans, à la même date. Afin de mieux pouvoir affirmer sa possessivité sur ses joyaux une fois qu'il les aura récupérés dans sa collection.

Guestlist ideas: Ish and Sal, Dierk and Thomas, Joseph and Leslie, Jerome, Thorstein and Rory, Bastiaan and Elvis, Daniel and Natan (or Daniel and Ernst)

À travers les rideaux satinés translucides se dessine une scène digne de Guernica, ou d'un film de Kubrick. Des corps, entremêlés au coeur d'une nuée de fumée parfumée au gingembre, au ginseng et à la fleur d'oranger.

La musique de jazz mise en fond se voit harmonisée par les soupirs et les râles qui s'échappent du boudoir, témoignant de la satisfaction que ces corps masqués cherchent à exprimer par tous les moyens possibles.

Ouverte pour la nuit aux rares initiés, la maison de Thørstein Steiner accueille toute une kyrielle d'individus, tous plus discrets les uns que les autres. La seule règle de la soirée est simple: un anonymat des plus certains est à respecter.

Au coeur de l'orgie, une paire de lèvres autour de son gland, une paire de fesses au dessus de ses lèvres, le milliardaire profite allègrement de sa nouvelle soirée.

––––––––––

Caché derrière un masque noir, l'inspecteur Daggett franchit le seuil de la maison, jetant un dernier regard à son acolyte, le député Keller, afin de s'assurer que leur couverture n'a pas été compromise.

Tu es prêt ? souffle-t-il à son camarade, en tendant sa veste au majordome. Leur enquête dans la mystérieuse disparition du shérif les a mené vers une source sûre, qui s'est empressée de désigner la demeure de Steiner comme un potentiel lieu d'enquête pour les policiers.

La mission du soir est simple: interroger les invités de la soirée sans compromettre leurs identités. Alors que le majordome les guide vers le boudoir, Leslie empoigne la main de Joseph afin de s'assurer qu'il ne le perdra pas de vue. Il ne saurait expliquer pourquoi, mais il a le pressentiment que cette soirée sera particulièrement déroutante.