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 FRANCIS WILLIAM LASWELL LE 3ème

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Feu Ardent
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MessageSujet: FRANCIS WILLIAM LASWELL LE 3ème   FRANCIS WILLIAM LASWELL LE 3ème EmptyVen 20 Jan - 14:21


❝ LASWELL, francis (III) william ❞
Âge, date et lieu de naissance ⇝ 26 Ans (Né le 11 Juin 1985 à Londres). Statut ⇝ Fiancé. Nationalité ⇝ SO British \o/. Métier/Études ⇝ Étudiant en Psychologie. Groupe ⇝ Base its Life in the Lie.

The departure of the lie.
Quelle est pour vous la signification du mot "mensonge" ? ⇝ Ah, vous la posez encore aujourd'hui, cette question là ? Soit. Si vous voulez tous savoir, le mensonge, pour moi, est une chose nécessaire dans la vie. Certains prétendent pouvoir vivre honnêtement, mais moi, je sais que c'est impossible. C'est impossible de ne pas mentir dans la vie si l'on veut aller loin. Je l'ai appris et tous les naïfs croyant pouvoir vivre "honnêtement" l'apprendront également tôt ou tard ... L'homme est né pour évoluer et s'adapter alors vous feriez mieux de vous aussi vous adapter au mensonge. Le mensonge a été qualifié de "malhonnête" ; moi, je le qualifie plutôt d'invention de génie : il est utile, rapide, et évite les situations embarassantes. Attention cependant à l'utiliser avec modération : une overdose de toute bonne chose peut avoir des conséquences tragiques ... Au final, le mensonge, pour moi, c'est la vérité, la seule et l'unique, qu'elle vous plaise ou non.

À quel moment avez-vous débuté à mentir ? ⇝ Le mensonge, c'est comme une boule de neige glissant le long d'une pente : au départ, c'est minuscule, et puis, ça grossit jusqu'à parfois devenir gigantesque et provoquer une avalanche. Ce que je veux dire par là, c'est qu'on ne sait pas quand débute le mensonge : on ignore parfois même avoir commencé à mentir. Ce n'est qu'à la fin qu'on prend conscience du fait que l'on a perdu de son "honnêteté" et de son "intégrité" - car oui, si vous vous posiez la question, tout menteur devient "malhonnête" d'après les règles de la société. Ce que je peux vous dire, c'est que j'ai commencé à mentir un jour, et que je n'ai pas arrêté : j'ai prétendu aimer mon père, j'ai prétendu aimer le sport, j'ai prétendu être pauvre ... J'ai prétendu plein de choses lorsque ça m'arrangeait parce que ça m'arrangeait et avant que vous ne posiez la question, non, je ne m'en veux pas : on fait tous le nécessaire pour survivre, après tout.

Quelles ont été les conséquences de vos mensonges ? ⇝ Les conséquences de mes mensonges ? Une vie sans problèmes et sans questions embarassantes, ça vous convient ? Je suis l'un des rares à savoir utiliser les mensonges avec finesse et modération, il est donc normal que je n'en tire que profit. Cependant, j'aimerais juste vous rappeller quelque chose : ce n'est pas parce que je ments que je suis une personne ... "mauvaise", comme on dirait. Je ments autant lorsque ça m'arrange que lorsque ça peut dépanner une personne en besoin : je ne suis pas un monstre cruel d'égoïsme, je suis juste quelqu'un cherchant à survivre dans un monde infestés de menteurs. Lorsque je trouve quelqu'un d'autre cherchant à survivre ? Je l'aide volontiers. Pour en revenir à la question, grâce (et non à cause) de mes mensonges, me voilà riche, fiancé et promis à un brillant avenir. Si elle n'est pas belle, ma vie ?


Prénom/Pseudo ⇝ Feu Ardent. Âge ⇝ 15 Ans. Avatar ⇝ The Spectacular Sebastian Stan. Ton avis sur Around The Lie ⇝ Assez magnifique && génial && original pour que Faith && moi on veuille s'inscrire. Very Happy Autres ⇝ Soyez gentil(le)s avec Faith, c'est ma chérie. :9°: Je vous aiiime ! *W*


Dernière édition par Mr. Terrific le Ven 20 Jan - 14:23, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: FRANCIS WILLIAM LASWELL LE 3ème   FRANCIS WILLIAM LASWELL LE 3ème EmptyVen 20 Jan - 14:22


❝ life's what you make it ❞

Tell us your story.
1er Septembre 2011, Londres.

Il pleuvait. Ce n'était pas le genre de pluie agréable et venue de nulle part par un de ces jours ensoleillés, ne durant généralement qu'une demi-dizaine de minutes et laissant en son sillage un arc en ciel multicolore : c'était le genre de pluie désagréable, prévisible bien des heures auparavant par des journées grises et froides, ne semblant jamais vouloir se terminer. Néanmoins, le climat semblait appropriée pour une telle journée ; un climat parfait pour une journée de deuil.

Le cerceuil se referma.

C'était fini.

- ... Tu vas tenir le coup ?

Sa voix douce et aigüe me tira brusquement de mes pensées. Il s'agissait de Faith. Me retournant vers elle, je me rendis compte que sa main était posée sur mon épaule - chose qu'elle n'avait jamais faite jusqu'à lors, du moins pas à ma connaissance. On s'était rencontré il y a un mois, dans le bar où elle était serveuse, après vingt-et-une heures ; il était vide ce soir là, comme si personne ne semblait vouloir s'aventurer dehors à pareille heure. Ça nous avait permis à discuter, à faire connaissance ... Et à décider de se fiancer en moins de trois heures. Comment on avait réussi notre coup ? Moi-même, je n'en sais rien, mais c'était décidé.

Malheureusement, mon père ne le voyait pas de cet oeil là. Henry Julian Laswell, quatrième du nom, avait toujours été porté par sa nobilité. Avec lui, ça n'avait jamais été "papa", mais "Mylord". Avec lui, ça n'avait jamais été "tu" mais "vous". Avec lui, ça n'avait jamais été actualité mais traditions. Avec lui, ça n'avait jamais été amusant, juste une lourde corvée. Il était donc évidemment qu'un homme si traditionnel, ayant insisté à me nommer Francis en hommage à son arrière grand-père ; à m'envoyer dans le plus prestigieux internat du Royaume-Uni ; à me faire poursuivre une brillante carrière dans un métier respectable et à nombreuses autres choses trop importantes en nombre à énumérer, n'aurait jamais accepté de me laisser épouser une méxicaine peu aisée financièrement ... Comprenez-le, ça aurait été trop pour "l'honneur familial" - façon élégante de dire qu'il n'était qu'un vieux ringard raciste et intolérant à autre chose que ses "idéaux" ... Rien que d'y penser, j'en ai la nausée.

Et pourtant, je n'ai jamais dit un mot de travers envers lui. Je ne lui ai jamais causé de crises de colère ou d'humiliations publiques ... J'étais trop rusé pour ça : je savais qu'avec un peu de patience, je pourrais un jour hériter de la fortune Laswell ... Mais uniquement si je ne le contrariais pas. Le cas contraire, mon cousin, Thomas Richard Woodrow le septième hériterait de la fortune Laswell. Oui, c'était compliqué, la nobilité britannique.

Et voilà qu'il était mort. Au moment où je m'y attendais le moins, il avait décidé à quitter le plan terrestre - aidé par un arrêt cardiaque de causes naturelles, précisons-le - afin d'aller rejoindre ma mère, Lady Catherine Laswell, décédée en me mettant au monde. Je me suis toujours demandé ce que ma vie aurait été avec elle pour m'élever et me protéger du snobisme de mon père : d'après ce que mes nombreux oncles et tantes avouent lorsqu'ils ont trop bû aux réunions familiales, dire que c'était une femme ... Animée et perturbatrice serait un euphémisme. Savoir que mon père avait épousé une "sous-classe" (comme il dirait) me prouve à quel point c'est ... était un hypocrite, et me rappelle à quel point je suis soulagé qu'il est enfin parti. Qu'il repose en paix ... Ou pas. Ça m'est dorénavant égal : il ne fait plus partie de ma vie, et c'était ce que j'espérais depuis aussi loin que je m'en souvienne.

À présent restait l'épreuve du testament. Et oui : tandis que les fossoyeurs s'occupaient de la lourde tâche qui consistait à mettre mon "très cher" père six-pieds sous-terre, je me préoccupais de son testament. Je le connaissais bien, le vil renard, après vingt-quatre années vécues sous son joug tyrannique ... Je connaissais son testament par coeur : il en avait une copie cachée sous son bureau. Toute sa fortune devait me revenir - après les dépenses nécessaires pour ses préparations funèbres - mais uniquement si j'étais marié au moment de son décès ; sinon, la moitié de sa fortune était prévue pour le cousin Woodrow, afin de s'assurer que "l'héritage Laswell ne disparaisse pas à tout jamais". Heureusement, avec le peu d'argent qu'il me restait, j'étais parvenu à me fiancer à Faith. Nous avions encore le temps de nous marier avant la lecture du testament : il n'était pas encore trop tard pour que je puisse m'approprier ce qui m'appartient de droit ... Mais dorénavant, où irions-nous ? Je ne me voyais pas vivre sous son toit, même après sa mort : à présent, j'avais les moyens d'aller vivre où je voulais.

Manchester. Nous n'avions qu'à aller à Manchester, et on se soucierait de l'avenir une fois là bas. Après tout, "demain est un autre jour", comme le dirait cette chère Katie Scarlett O'Hara d'Autant en Emporte le Vent - qui, incidentellement, était l'un des films préférés de Lady Catherine - et des lendemains, nous en avions encore - et en avons toujours - plein, peut être même trop ...



21 Octobre 2011, Manchester.

Riches. Nous étions riches. Il ne nous suffisait plus qu'à nous marier avant le 15 Décembre 2011 et la fortune Laswell nous appartiendrait, en son intégralité. À ce stade là, tout pouvait m'arriver que rien ne pourrait nuire à ma bonne humeur. J'étais heureux ; je jubilais tant cette nouvelle me réchauffait le coeur. D'ici deux moins, nous pouvions faire ce que nous voulions : divorcer si l'envie nous prenait, où encore arrêter nos études et emplois ... Je ne disais pas souhaiter quitter l'université, non : après tout, il ne me restait plus qu'à attendre quelques mois pour qu'un joli doctorat me tombe sur les genoux - si tout se passait bien, étant en dernière année d'étude de la psychologie humaine - et je me disais que je devais bien au moins ça à mon père, après le cadeau qu'il m'avait inconsciemment fait post-mortem. Qui plus est, la psychologie commençait à me plaire : je me voyais presque assis derrière un bureau en ébène, écoutant les problèmes des autres avec "compréhension" pour gagner ma vie ... Ça semblait relativement facile comme métier ; c'était également relativement apaisant d'entendre parler des problèmes des autres pour une fois : ça nous changeait des notres et nous donnait une perspective sur le point auquel notre vie n'est pas aussi mauvaise qu'on pourrait se l'imaginer.

- Faith ! Tu es là ?

La maison qu'elle nous avait dénichée sur Oxford Road était tout simplement divine : aux murs chauds d'une couleur crème, la maison était plus que confortable avec ses trois étages et ses escaliers tapissés de moquette. C'était une véritable perle ; une véritable trouvaille, tout comme Faith : j'avais bien fait de la rencontrer dans le bar le soir où je l'ai rencontrée, et l'aborder avait été la meilleure décision de ma vie. À présent, il ne nous restait qu'à suivre notre plan pour que notre vie soit finalement parfaite ... Encore quelques semaines et tout serait parfait, ou du moins, c'était ce qu'on se disait.



3 Décembre 2011, Manchester.

Elle était partie. Aussi rapidement qu'elle était entrée dans ma vie, elle en était ressortie, avec mon argent, ou du moins, une bonne partie de celui-ci. Il ne me restait plus grand chose, à part de quoi me nourrir, m'habiller, financer mes études et mes biens matériaux : ma voiture, la maison ... Je la haïs. Elle n'était qu'une pauvre immigrée que j'ai recueillie, que j'ai essayé d'aider, et pour me remercier, non seulement elle m'a pillé, mais en plus, elle l'a fait avant le mariage, et donc, avant que je puisse toucher à mon bel héritage ... J'avais été inconscient et naïf ; ça ne se reproduirait dorénavant plus jamais, je me le promettais.

Il me fallait un plan.

Je devais me redresser, essayer de plus belle, reprendre ce qui aurait dû être à moi. Cet argent, il était à moi : c'était celui que mon père avait reçu de son père, et lui, du sien ; c'était une fortune familiale que je ne pouvais pas laisser tomber entre les mains d'autrui que moi, cousin éloigné ou non. Malheureusement, avec le départ de ... Avec son départ, les choses n'étaient pas gagnées ; tout semblait même perdu. Je devais me trouver une nouvelle femme, et rapidement. J'avais eu de la chance : des complications avaient fait en sorte que la lecture du testament ne se ferait au final pas avant le 31 Janvier ; ça me laissait un peu moins de deux mois pour me marier. Excellent.

Je contemplai les meubles, leur bois si lisse et neuf, à l'odeur si parfumée ... C'était vraiment une belle maison. Je ne regrettais pas de l'avoir achetée. Je ne regrettais pas d'avoir vécu dedans. Ce que je regrettais, c'était d'avoir donné à Faith ce qu'elle ne méritait pas : le luxe. Je ne l'avais, après tout, jamais aimé, et elle ne m'avait jamais aimé : on s'était arrangés pour faire un mariage blanc, en fait. Le seul problème, c'est qu'elle s'était enfuie avant le mariage ... Elle aurait pû partir après, mais son égoïsme l'avait emporté. Je ne souhaitais plus jamais la revoir, ni aucun souvenir d'elle : en ce qui me concernait, elle ne méritait absolument rien, plus rien de moi.

J'avais changé les serrures ; j'avais brulé toutes les photographies d'elle. Ses numéros avaient été effacés de mon iPhone, ainsi que tous ses messages. Son nom ne figurait plus sur la boîte aux lettres. C'était comme si elle n'avait jamais existé. Certains se poseraient certainement des questions, mais je m'en fichais : j'étais débarassé d'elle et de tout souvenir d'elle, et libre pour vivre une vie nouvelle.


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MessageSujet: Re: FRANCIS WILLIAM LASWELL LE 3ème   FRANCIS WILLIAM LASWELL LE 3ème EmptyVen 20 Jan - 14:23

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