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 WAINWRIGHT ✲ if i fall in love, i won't fall out of it easily. [100%]

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Feu Ardent
Feu Ardent
Admin



Messages : 682
Date d'inscription : 17/12/2009
Age : 28
Localisation : Sur le forum, en train de moderer vos paves de textes!

Feuille de Superheros/Supervillain - Mutant
Sexe: Masculin
Jauge de vie du Superheros/Supervillain - Mutant:
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MessageSujet: WAINWRIGHT ✲ if i fall in love, i won't fall out of it easily. [100%]   WAINWRIGHT ✲ if i fall in love, i won't fall out of it easily. [100%] EmptySam 24 Mar - 13:47

i feel like our world's been infected
Feu Ardent ◘ 15 Ans ◘ Hong-Kong, Chine ◘ Variable ◘ Ce forum est trop beau && trop original. @_@



WAINWRIGHT ✲ if i fall in love, i won't fall out of it easily. [100%] Cooper2
© Feu Ardent
Wainwright Mador Harris

Wesh poto, bien ou bien ? Moi c'est Wainwright Mador Harris, j'ai 26 piges et actuellement j'suis pas prêt de me résoudre à m'en faire qu'une. Dans la vie je suis écrivain et peintre sinon à ce qu'il parait j'ai la belle gueule de Andrew Cooper.

baby, you're my disease

orientation sexuelle Bisexuel.

groupe Votre guerre, à quoi elle sert ?

Qui est le soleil de ta vie ? • Je n'avais qu'un soleil, dans ma vie. Malheureusement, elle est morte, et depuis, ma vie n'est plus qu'un éternel hiver.
T'es prêt à faire quoi pour un Big Mac ? • Je préfère largement les repas équilibrés que toutes ces nourritures industrielles remplies de sucres (lents ou rapides) capables de nous gâcher la santé.
Qui est la personne que tu admires le plus ? • J'admirerais toujours Stacy pour son courage, et le fait qu'elle s'est battue jusqu'à son dernier souffle pour réussir.
Pour ou contre l'indépendance des femmes ? • Naturellement, je suis pour. Après ce que j'ai vécu, j'ai finalement compris que les femmes méritent tout l'amour et le respect du monde.
once upon a time
WAINWRIGHT ✲ if i fall in love, i won't fall out of it easily. [100%] Cooper2434
Let me be your superhero


Mlle. Stacy Williams,
20th Maine Street.

Tu vois, après tout, tu as quand même eu ce que tu voulais. Tu m'avais toujours repproché de ne jamais t'écrire, et, bien que, j'avoue, il est aujourd'hui trop tard, je ne me sentais pas capable de continuer sans faire ça pour toi, ne serait-ce qu'une fois. Mais bon. Tu le savais, que je t'écrirais un jour, hein ? Tu savais que t'aurais toujours eu tout ce que tu voulais. Tu as eu ta voiture, après tout. Tu as eu ta place, dans cette équipe de natation, après tout. Tu m'as eu moi. J'ai l'impression que c'est de l'histoire lointaine, l'époque où je vagabondais de jupon en jupon, faisant des malheurs afin de satisfaire mes envies ; à l'époque, j'étais un homme différent. À l'époque, je ne te connaissais pas encore. Tu as su me séduire, me trouver, me rendre tien. Tu as su me changer, changer ma manière de voir les choses, et même parfois de penser. C'est toi qui m'as appris à faire la cuisine, toi qui m'as appris à faire le ménage de manière efficace, rapide et correcte. C'est toi qui m'as appris ce que c'était d'être un véritable homme, ce que c'était que le respect des femmes. Je te dois une fière chandelle : sans toi, je serais probablement toujours cet homme détestable et égoïste, mettant toujours en avant son bonheur avant celui des autres. Plus maintenant. Tu as pris le plus grand fils à papa que tu aies pu trouver, afin de le transformer en ce que je suis aujourd'hui. Cela n'a probablement pas dû être facile, pour toi, et je m'excuse d'ailleurs de t'avoir rendue la tâche plus complexe encore. Mais que veux-tu ? J'étais jeune, immature, "con", comme on dirait. Plus maintenant. Tu m'as ouvert les yeux. Tu m'as montré qu'en dehors des fêtes, de l'alcool et des cigarettes, il existait un monde merveilleux. Je me rappelle encore de notre voyage aux Alpes. De notre voyage en Asie : tu te souviens de la grande muraille de Chine, toi ? Je sais que pour moi, je m'en souviens comme si c'était hier. On est allé en Australie aussi, on s'est bien brulés là bas ! Mais avant tout, on s'est amusés. On s'est amusés parce qu'on ne se souciait de rien, hormis du bien être des autres.

J'étais un fils à papa riche, snob et né avec une cuillère en argent dans la bouche. J'étais discriminatoire et intolérant, ayant été élevé ainsi : pour moi, les pauvres étaient pauvres, les femmes étaient femmes, et j'étais loin au dessus d'eux dans la hierarchie des choses. Ce n'est qu'après avoir fait ta rencontre que je me suis rendu compte à quel point j'avais tort ; à quel point j'étais insignifiant, en ce monde. Tu as toujours été généreuse et courageuse, et j'ai l'impression que tu as partagé ces deux vertus avec moi. Tout à l'heure, lorsque je parlais de nos voyages, j'avais oublié pourquoi je les avais autant aimé : ce n'était pas pour les paysages, non. Ils étaient certes magnifiques, mais il y avait autre chose qui me plaisait davantage encore. Ce n'était pas pour la nourriture, non. On a voyagé à travers le monde, on a vu chaque continent, en seulement cinq années, et des plats, on en a goûtés, mais eux non plus n'étaient pas ce qui m'avaient rendu heureux. Ce qui m'avait tant plus, pendant nos voyages, c'était notre "mission" : on aidait les pauvres, et en échange, ils nous remerciaient. Jamais je ne me suis senti aussi bien que lorsque j'ai aidé ces personnes à tes côtés. Tu m'as fait connaître les plaisirs de la vie, les vrais. Ces dernières semaines vécues loin de toi étaient tout simplement insupportables, surtout après le paradis que tu as partagé avec moi. Ton monde. Celui de la musique, du bénévolat et de la natation. Tu était ma muse, tu étais une déesse en ton droit. Chaque jour avec toi était un jour où j'oubliais ce que l'on m'avait appris pour apprendre des choses nouvelles. Je ne regrette rien. Je ne regrette pas d'avoir abbandonné ma famille et d'avoir été renié par eux, car à travers cela, je t'ai eu toi. Je ne regrette pas de t'avoir aimée, j'en remercie d'ailleurs tous les jours les forces qui nous dépassent - car oui, malgré toutes les notions que tu as pu implanter dans mon esprit, celle de Dieu me restera à tout jamais impossible à ancrer en moi. Bref. Avec toi, ma vie était parfaite, elle avait un sens.

Maintenant, tu es partie. Je t'en veux. Non, enfin ... Je ne t'en veux pas : ce n'était pas de ta faute. Ce qui me frustre, ce qui me chagrîne plus que tout, c'est que c'était aussi rapide ; trop rapide même. Si j'avais sû ce matin là, que tu ne reviendrais pas, jamais je ne t'aurais laissée sortir. Mais je ne le savais pas, et toi non plus. Je me rappelle que tu disais toujours avoir tout ce que tu voulais. J'espère que c'est toujours le cas. J'espère que là où tu es, tu es heureuse : tu mérites de l'être. Mais moi, je ne le suis pas. Je suis misérable. Je n'ai plus de famille, je n'ai plus d'amis. J'ai renoncé à tout, à ma vie, à mon identité pour toi. Depuis ton départ, je n'ai plus rien, à part notre appartement, tes vêtements et quelques photos de nous. J'aurais dû venir avec toi, te protéger. J'étais trop occupé par ma toile. Ironique, n'est-ce-pas, que ce qui me gardait loin de toi était une représentation de ton physique aussi parfait que délicat. Je me rappelle encore de ce coup de fil tragique. Je me rappelle que j'avais laché mon pinceau, qu'ils s'était écroulé au sol, laissant une grosse tâche de peinture rouge sur le tapis. Je me rappelle ne pas avoir compris, ne pas avoir voulu comprendre, et surtout, ne pas avoir voulu y croire. Je ne l'acceptais pas. Tu ne pouvais pas être morte. C'était impossible.

Mais tu es morte. Il faut un jour se l'admettre après tout. Tu es partie, ton essence a disparu, que ce soit dans le néant ou dans l'au delà. Je n'ai jamais cru en dieu, mais si y croire signifie que tu es dans un endroit meilleur, alors je veux bien essayer, pour toi. Stacy, si tu savais à quel point tu me manques ... La douleur est insupportable. Partout où je vais, je te vois. Ton visage, tes beaux cheveux. Je sens ton odeur, j'entends ton rire. La nuit, je ne puis dormir, hanté par ton souvenir, que ce soit lorsque je suis éveillé ou lorsque je rêve. Je n'ai pas encore trié tes affaires : ça reste encore bien trop douloureux, pour moi. Et voilà donc que je t'écris, pour je ne sais quelle raison. C'est ... probablement parce que j'espère que quelque part, ça m'aidera à atténuer la douleur. Mais pourquoi, Stacy ? Pourquoi t'efforçais-tu toujours à être la plus courageuse, la plus généreuse, la plus juste ? Pourquoi souhaitais-tu toujours être l'être humain le plus noble qui puisse être ? Pourquoi n'aurais-tu pas pu, juste une fois, ne pas jouer l'héroïne, au lieu de pousser ce petit garçon au milieu de la rue pour prendre sa place devant ce gigantesque camion ?

Je la connais déjà, la réponse ; je l'ai toujours sue. C'est parce que c'était la bonne chose à faire, je le sais. Mais ne t'es-tu pas demandé si moi, tu ne me ferais pas de mal, en sauvant cette vie précise ? Ne t'es-tu pas soucié de mon bonheur ? N'as-tu pas pensé à moi ?

Je sais que mes propos sont égoïstes. Je sais que tu as fait ce que tu devais faire. Alors pourquoi dire ces choses inutiles ? Parce que bien que je comprenne pourquoi tu as agi de la sorte, ça ne change pas le fait que je souffre. Je souffre, j'ai mal, et j'ai besoin de le dire à quelqu'un. Hors, pour moi, tu es la seule qui peut écouter ce que j'ai à dire, et tu es celle à qui je devrais le dire. Chaque pensée de toi, chaque photo de toi, chaque mention de ton nom induit en moi une poussée de larmes inexplicables. La vie sans toi me semble impossible. Tu étais mon pillier, ma lumière. Sans toi, je suis perdu, dans l'obscurité. J'aurais tant aimé pouvoir être là ; j'aurais tant aimé pouvoir prendre ta place. Tu mérites plus la vie que moi, Stacy. Ce n'est pas juste que tu l'aies perdue en premier.

Je t'aime, Stacy. Mais ça, tu le sais probablement déjà. Je t'aimerais toujours, et je sais que jamais je ne pourrais t'oublier.

Tu me manques.

Ton Wainwright à toi et pour toujours.

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