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 FONDATEUR ✈ STEVEN ✿ That's Not Your Real Nose, i Can Tell.

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Feu Ardent
Feu Ardent
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Feuille de Superheros/Supervillain - Mutant
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Jauge de vie du Superheros/Supervillain - Mutant:
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MessageSujet: FONDATEUR ✈ STEVEN ✿ That's Not Your Real Nose, i Can Tell.   FONDATEUR ✈ STEVEN ✿ That's Not Your Real Nose, i Can Tell. EmptySam 7 Avr - 13:11


Steven Julian Pearce


« i became a plastic surgeon because girls thought it was hot »


FONDATEUR ✈ STEVEN ✿ That's Not Your Real Nose, i Can Tell. Franco1



Identity Card

Nom : Pearce
Prénom(s) : Steven Julian
Surnom(s) : Doctor Love
Date et Lieu de Naissance : 20 Mars 1983 à New York
Âge : 28 Ans
Profession : Chirurgien Esthétique
État Civil: Vous me voyez en couple? Sérieusement? Évidemment que je suis célibataire!
Orientation Sexuelle: Hétérosexuel, même ivre mort.
Groupe : Working Class \o/
Célébrité : James Franco, who else?
Personnage: Inventé Prédéfini (PV ou Scénario)

Mon Caractère

Peu de gens connaissent réellement Steven Julian Pearce, et encore moins d'entre eux apprécient cet homme on ne peut plus singulier. Au premier abord, l'homme que vous avez en face de vous est un homme témoignant d'une forte confiance en soi. Arrogant et autoritaire, il semble se croire supérieur et plus important que vous, bien que cela ne soit qu'une impression: en réalité, Steven est un homme on ne peut plus loyal avec ceux qui lui sont chers, notamment lorsqu'il s'agit de sa famille.

D'ailleurs, il n'est pas tout blanc, tout noir: bien qu'il ait énormément de défauts, c'est indéniable (mais n'en avons nous pas tous, des défauts?), il a également énormément de qualités humaines. Généreux, aimable, et brillant, il n'a jamais été en échec scolaire et a toujours compris le principe du partage et des relations positives dans sa vie sociale. Steven est un optimiste de la vie qui adore sourire, chose qui s'avère contagieuse chez lui étant donné qu'il a le don inné de le transmettre aux personnes qu'il rencontre. Il ne supporte pas les gens qui s'apitoient sur leur sort: étant tenace et déterminé, il se dit que les personnes feraient mieux de se battre pour leur bonheur et leurs convictions plutôt que de tout subir en silence.

En effet, il est très sensible, ce qui explique sa manière de dénicher le désespoir le malheur et la tristesse là où elle passe et de s'inquièter pour les autres, comme un véritable compassionné. Néanmoins, il faut ajouter que Steven a sa part de coquinerie et "d'immaturité" (comme certains pourraient qualifier son comportement habituel). Humouristique, il ne se retient pas de sortir des blagues lors des situations les plus graves où de sortir un commentaire ironique par-ci et par-là. Il aime bien rire, mais il préfère encore plus faire rire, et il n'hésite pas à entretenir des révélations choquantes pour avoir l'effet souhaité.

D'ailleurs, en parlant de ce qu'il aime, il faut savoir que Steven adore être le centre de l'attention; il adore être l'objet de l'admiration la plus pure de son entourage et le centre des rumeurs, chose qui n'est pas difficile étant donné sa réputation de "coureur". En effet, amateur des coups d'un soir, le séduisant New Yorkais au sourire irrésistible n'a aucune difficulté à faire tomber sous son charme de belles demoiselles d'origines diverses. Il est d'ailleurs très joueur de ce côté là, aimant jouer sur son mystère et son charme et de rendre ses conquêtes dingues au passage. S'il parvient à enchaîner autant de conquêtes, c'est sans doute grâce à son charisme, qui fait de lui un homme fascinant dont les gens boivent les paroles sans cligner des yeux.

Mais avant tout? Steven est un homme qui aime choquer. Audacieux et provocateur, ça ne le dérange pas de salir sa réputation en se peignant une image de "playboy; d'homme peu fréquentable, tout du moins pour les dame dignes de ce nom", ce qui est assez ironique étant donné que Steven est l'un des chirurgiens les plus réputés de la ville. Assez endurant, il encaisse malheur sur malheur et fatigue corporelle sur fatigue corporelle avant de craquer de temps à l'autre. Sachant prendre l'initiative, Steven s'est rapidement démarqué de l'hôpital dans lequel il travaillait lorsqu'il remarqua leur manque d'organisation. C'est également cette initiative qui l'a permis d'être le "chef" de sa bande d'amis au lycée.


Mon Histoire

Parfois, je me dis que la vie n'est pas aussi simple qu'elle en a l'air. Après tout, ne serait-ce pas tellement plus facile de ne pas travailler, de vivre sous les palmiers et d'avoir tout ce dont on aurait besoin à portée de main, sans jamais avoir à se soucier d'autre chose? Malheureusement, ce n'est pas ça la vie. La vie, c'est une enchaînements d'obstacles, de défis, de problèmes... Et je relève le défi avec joie. Le nom, c'est Pearce, Steven Julian Pearce pour être plus précis. Je suis né le 20 Mars, le premier jour du printemps. C'est probablement pour cela que je suis si optimiste et joyeux la plupart du temps, contrairement à ceux nés en hivers, moins chaleureux et plus renfermés sur eux mêmes. Parfois, je me dis que si je n'avais pas vécu tout ce que j'avais vécu, je ne serais pas l'homme que je suis aujourd'hui, et il s'avère que j'ai raison.

1990: Elle s'appellait Carol. Je me rappelle encore de ses cheveux, ses beaux cheveux blonds... Je me rappelle encore lui avoir tiré ses couettes sans cesse, pendant toute l'année, jusqu'à ce qu'elle déménage à Madrid... Je me rappelle encore de son rire, ce magnifique petit rire qui faisait rire tout le monde... J'était vraiment heureux à cette époque là, malheureusement, je sais qu'elle ne l'était pas lorsqu'elle me voyait: elle m'aimait bien, c'était certain, sinon elle se serait rapidement débarassée de moi, mais elle ne supportait pas que je lui arrache ses cheveux chaque jour, que je soulève ses jupes, que je me moque d'elle ou de ses parents... Quand j'y pense, j'étais assez horrible comme enfant! Je me rappelle encore du jour où mes parents voulaient me forcer à manger mes légumes, ce à quoi j'ai répondu en grimpant sur la table et en me mettant à la tambourinner de mes pieds. J'avais sept ans alors, ma soeur, Lexie, en avait quatre et mon autre soeur, Sarah, venait tout juste d'avoir un an. Je me rappelle du jour (ou plutôt, des nombreux jours) où mes parents avaient été convoqués par la directrice, qui voulait leur parler de moi. Apparament, j'étais trop "turbulent, insolent et arrogant". Si seulement elle pouvait me voir maintenant, elle les aurait machés, ses mots...

1995: Elle s'appellait Judith. Je n'avais que douze ans à l'époque, je venais d'entrer en 5ème, et pourtant, les filles m'intéressaient déjà. Elle m'observait depuis des semaines, apparament, me convoitant secrètement et souhaitant m'avoir pour elle. Personne n'avait jamais voulu de moi auparavant, et c'est probablement pour cette sensation d'importance et d'existance que j'ai cèdé à ses avances. Beaucoup de choses m'arrivaient à cette période là de ma vie, des choses douloureuses... Après tous mes efforts pour me rapprocher de ma plus jeune, Sarah, je m'en retrouvais davantage éloigné. Il faut dire que je ne la comprends pas, et que je ne la comprendrais sans doute jamais... Les choses se passent tellement bien entre Lexie et moi, et entre Lexie et elle... Mais c'est probablement parceque notre soeur commune a ce charme fou qui fait que personne ne peut vraiment lui résister. À cette période de ma vie, j'avais des troubles de confiance en moi: je venais de perdre tout le poids qui avait autrefois fait de moi un "gros", mais je n'avais toujours pas regagné cette certitude que j'étais égal aux autres, voire même supérieur. Qui plus est, nos parents s'éloignaient de nous à une vitesse vertigineuse, consommés par leur travail... Pour toutes ces raisons, je céda aux avances de Judith. On s'est tenu la main pendant deux semaines, on a du s'embrasser une fois, et puis c'était fini, juste comme ça.

2000: Elle s'appellait Sarah. Ou plutôt, elles s'appellaient Sarah: j'avais eu la malchance de tomber entièrement et complètement amoureux d'une fille qui partageait le même prénom que ma peste de petite soeur. Comme vous aurez pu vous en rendre compte, ma relation avec Sarah Pearce s'est bien détériorée depuis '95... Par sa faute. Elle faisait littéralement tout ce qu'elle pouvait pour m'humilier devant mes amis, me rendre misérable et m'injurier. Heureusement que j'avais l'école et mes amis, sinon, j'aurais craqué depuis longtemps... Car oui, j'étais devenu plus ou moins populaire à mon lycée. Enchaînant petite-amie sur petite-amie, elles ne valaient pas plus pour moi que des trophées utilisés pour rendre les autres jaloux. Elles n'étaient pas importantes à mes yeux... Elles n'étaient pas Sarah. Elles n'étaient pas cette magnifique fille, avec un goût exquis, un magnifique sourire et cette facheuse "habitude" de se ficher de ce que les autres pouvaient bien penser d'elle... Elle avait une beauté intérieure extraordinaire et une force de caractère phénoménale... C'est probablement ça qui m'a le plus attiré chez elle: c'était la seule fille qui avait pu me résister plus d'une semaine (elle avait repoussé mes avances pendant environ trois mois, à ce qu'il me semble. Lorsque finalement elle accepta de faire de moi une partie de sa vie, ma joie fut telle qu'elle m'est encore indescriptible... Après six mois passés ensemble, je croyais que nos vies étaient liées à tout jamais... C'était sans compter sur le sabotage perpétuel que ma soeur me faisait. En une soirée, mes neuf mois d'efforts ne comptaient plus pour rien: elle avait fini par effrayer Sarah, la repousser loin de moi et faire en sorte que celle-ci ne veuille plus jamais me revoir... Si seulement elle avait sû à quel point je l'aimais.... Je ne lui ai jamais pardonné pour ce qu'elle a fait: ça fait dix ans que je n'ai pas entendu le son de sa voix, et elle, celui de la mienne.

2001: Il s'appellait Michael. C'était mon meilleur ami. On se connaissait depuis... Toujours, à vrai dire: ses parents et les miens s'entendaient à merveille, parfois un peu trop d'après les apparences... Il m'avait aidé à tout surmonter. Dire que je n'ai jamais été jaloux de lui serait pur mensonge, mais au final, j'étais heureux que tout se passait bien dans sa vie... Jusqu'à sa mort. Le 09 Septembre 2011, Michael s'était trouvé près du World Trade Center lors des attentats terroristes et y perdit malheureusement et tragiquement la vie... C'était probablement la personne la plus aimée au monde que je connaissais. Il y avait littéralement plus de cent personnes à son enterrement, et que des gens qu'il connaissait et de qui il était proche. Je me rappelle encore de la souffrance que j'éprouvais alors... Pourquoi lui, et pas moi? Lui qui était mon supérieur en tout, lui qui méritait plus la vie que moi? À partir de là, ma vie avait été changée à tout jamais... Je poursuivais mes études avec hargne et acharnement, pour lui qui ne pourrait jamais continuer les siennes. Je passais de conquête en conquête, pour lui qui ne connaitrait plus jamais la chaleur d'un corps humain à côté du sien, pour lui qui ne connaitrait jamais le grand amour... Je vivais en son honneur; je vivais pour lui.

2004: Elles s'appellaient Svetlana, Marissa, Marilyn... Et plein d'autres encore. Mes années universitaires avaient probablement été les plus folles et les plus joyeuses de ma vie, après les premières années de ma vie: il y avait une période de mon année où chaque soir, une fille différente m'honorait de sa présence au lit. Je récoltais d'excellents résultats scolaires, des félicitations de toutes parts et de l'admiration de la part de tous mes amis et camarades, mêlée à un peu de jalousie... S'il y avait eu un roi de l'université, ça aurait probablement été moi. Je n'oublierai jamais, ni ne regretterai jamais cette période de ma vie, où je pouvais être moi, sans devoir vivre selon l'image que les autres se faisaient de moi et selon ce qu'ils pensaient que je devrais être. Loin de mon ancienne vie, loin de ma famille, loin de Sarah... C'était ça, la vie qu'il me fallait, et je l'ai acceptée avec joie.

2005: Elle s'appellait Sophie. C'était une charmante petite brittanique, aussi rousse que la petite sirène et aussi coquette que Narcisse lui-même. Jamais elle ne sortait de chez elle sans son chapeau blanc avec un ruban coloré qu'elle changeait chaque jour, en fonction de son habillement. De tous mes souvenirs, elle ne portait jamais de pantalons, uniquement des jupes. Elle étudiait la photographie, moi la médecine, et pourtant, ils nous avaient mis dans la même chambre... On peut dire que je l'ai rapidement décoincée, cette belle plante timide! En moins de deux semaines, je l'avais initiée au sexe, elle qui souhaitait attendre le mariage avant de commencer, en moins de deux semaines, on était devenus très proches... Mais on ne s'aimait pas. J'avais mis les points sur les "i", et elle comprit plus tard mon point de vue: après tout, les relations sexuelles sont tellement meilleures sans cette chose douloureuse qu'on appelle les sentiments, si? On s'est un peu perdus de vue depuis, mais je suis certain qu'un jour, on se retrouvera, en tant qu'amis, ou plus...

2007: Elle s'appellait... Je ne me rappelle même plus de son nom! Il s'agissait de ma première patiente... Ah, voilà, Megan, qu'elle s'appellait! Elle était venue pour se refaire le nez, sans se douter que cette décision allait la rendre infidèle à son mari. En effet, lors de son dernier entretien avec moi (après l'opération, évidemment), elle ne pouvait pas résister à mon charme, à mon "professionalisme", et surtout, à ma belle blouse blanche... Pour elle, c'était le premier pas vers une vie d'adultère. Pour moi, c'était une victoire qui propulsa mes conquêtes sur une toute nouvelle dimension: celle de coucher avec mes patientes. J'adore ce petit "jeu": c'est si risqué, et à la fois, si tentant, si séduisant... Et il faut dire que mes patientes ne regrettent jamais m'avoir rendu visite. Dois-je ajouter que je les préfère après leur opération plutôt qu'avant?

2010: Elle s'appellait Ashley. Elle s'appellait Ashley, et pour être honnête, je crois bien que c'était la femme de ma vie. Je n'ai jamais ressenti ce que j'ai ressenti pour elle, pas même pour Sarah, ni aucune des autres filles que j'ai "aimé" dans ma vie. Quand j'étais avec elle, je me rendais à quel point j'étais une mauvaise personne... Elle m'améliorait. Elle me rendait meilleur. Elle me faisait comprendre ce qu'était la vie. J'adorais son sérieux, sa timidité... On se complétait tous les deux, et franchement, faire l'amour n'a jamais été aussi bien que lorsque c'était avec elle. Et puis juste comme ça, c'était fini. Elle est repartie travailler à l'hôpital, je suis resté seul au cabinet... Je ne l'admettrais jamais à voix haute, mais je l'aime toujours. Elle me manque. Je veux la voir. Je veux la sentir à mes côtés. Je veux qu'elle me fasse comprendre que je suis en vie, qu'elle m'apprenne à vivre à nouveau. Je la veux elle, et uniquement elle...

Parfois, je me dis que la vie n'est pas aussi simple qu'elle en a l'air. Des erreurs, on en fait tous, des bêtises, on en fait tous. L'important, ce n'est pas de les faire, mais de les admettre, de vivre avec, et d'apprendre grâce à elles. Après tout, que sommes nous sans les autres? Rien. Rien de plus qu'une coquille, vide de tout: vide d'amitié, vide d'amour, vide de raisons d'être, vide de joie et surtout, de vie. Je n'ai probablement pas eu la vie la plus facile, ni la plus difficile, mais je ne regrette rien, car je sais que sans elle, je ne serais pas l'homme que je suis aujourd'hui, et cet homme là, c'est l'homme que je veux être. Je n'arrêterai jamais de travailler, pour Michael. Je ne refuserais plus jamais les joies de la vie, pour Michael. Je lui ai promis que je continuerais de vivre comme si de rien n'était, je lui ai promis de vivre tout ce qu'il n'a pas pu vivre, et je me tiendrais à cette promesse, coûte que coûte.


Behind The Screen

Prénom / Pseudo : Feu Ardent
Age : 15 Ans
Comment As-Tu Découvert le Forum ? Dans ma tête, quand je m'ennuyais. (a)
Une Suggestion ? Pas vraiment. XDD
Un Commentaire ? J'espère que ce forum vous plaira (: J'ai vraiment passé beaucoup de temps dessus ^^






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