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 DALGLIESH AGNEW ✂ fuck the system.

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Feu Ardent
Feu Ardent
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Messages : 682
Date d'inscription : 17/12/2009
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Localisation : Sur le forum, en train de moderer vos paves de textes!

Feuille de Superheros/Supervillain - Mutant
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Jauge de vie du Superheros/Supervillain - Mutant:
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MessageSujet: DALGLIESH AGNEW ✂ fuck the system.   DALGLIESH AGNEW ✂ fuck the system. EmptyDim 28 Avr - 0:02



Dalgliesh Eoin Agnew
featuring colton haynes
NOM(S) : Agnew. PRÉNOM(S) : Dalgliesh. AGE : 23 ans (15/05). LIEU DE NAISSANCE : Dalkey (près de Dublin), Irlande. NATIONALITÉ : Irlandais et fier de l'être, mais pas roux. ORIGINE(S) : Irlandaises. ÉTUDES : Sport-études. ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel, zyva, t'as cru que j'te laisserais toucher à mon cul toi ? :ôô: DES SOUCIS DE SANTÉ ? : J'crois pas, attends, laisse moi vérifier, quand même. SITUATION SOCIALE : En couple, mais ça, tout le monde le sait. :perv: SITUATION FINANCIÈRE : Moyenne. SITUATION FAMILIALE : Mes deux parents sont morts lorsque j'avais cinq ans ; j'ai ainsi été élevé par ma soeur, de treize ans mon aînée. PLUS GRAND REVE : Réussir ma vie. PLUS GRAND CAUCHEMAR : Que ma soeur et son mari reviennent dans ma vie ... Ou alors, que je perde Holly. VOTRE PROVERBE DE VIE : Run, run, far away, run run, another day.
You know my name...
come on down to front and sit right here and don't be shy
Vous vous retrouvez en face de l'adjointe du Doyen pour l'entretien décisif qui vous donnera accès ou non à une place dans cette prestigieuse université qu'est l'UCLA... pesez vos mots et répondez-lui avec le plus de sincérité possible, car elle a un don pour deviner lorsqu'on lui ment pour l'impressionner ! Alors Monsieur/Mademoiselle, il semblerait que vous vous intéressez de près à UCLA, puis-ce que vous vous trouvez ici aujourd'hui. Commençons par de simples questions, voulez-vous ? Premièrement, j'aimerais en savoir plus sur votre parcours scolaire ... résumez-moi donc les cursus que vous avez choisi et pour quelle raison.

Eh bien, j'ai toujours aimé le sport ... Plus jeune, je faisais partie de l'équipe de soccer de mon collège ; au lycée, c'était le baseball. J'ai donc décidé de me tourner vers les sports-études, étant donné qu'il n'y a que cela qui me passionne assez pour que je puisse m'y consacrer corps et âme. Je n'ai pas su me trouver d'études mineures, par contre ... Mais je compte compenser pour cela en m'engageant dans plusieurs équipes de sport extrascolaires.

Quelle carrière professionnelle envisagez-vous ?

J'aurais bien aimé être athlète, mais je ne pense pas qu'une telle chance m'arrivera. Donc professeur de sport, ça me tente pas mal. C'est une belle alternative, je pense.

Faisiez vous partie d'un club lorsque vous étiez au lycée ?

Alors je faisais partie du club théâtre, lorsque j'avais douze ans. Mais hormis les équipes sportives, je n'ai pas réellement participé à ce genre d'activités. En plus du soccer et du baseball, j'ai également fait un peu de basketball et de handball.

Je vois... et sinon, avez-vous voyagé dans d'autres pays, par le passé ? Parlez-vous d'autres langues que l'anglais ?

Je viens d'Irlande, comme mon faible accent peut en témoigner, et j'ai passé les dernières années de ma vie à New York. Hormis cela, je n'ai pas vu grand chose du monde, non, malheureusement, excepté en voyages scolaires. Je ne parle pas d'autres langues, hormis un peu de français, appris au lycée ... Mais je ne suis pas exactement bilingue non plus.

Elle vous jauge du regard, pose à nouveau ses yeux sur votre dossier, puis continue. Hm... je suppose que vous êtes assez mature pour me parler de vous sans trop vanter vos atouts. Face à votre regard perplexe, elle soupire. Parlez-moi de vous, à présent. Votre caractère, ce que vous aimez... les activités sportives que vous pratiquez, vos hobbies.

Je pense être assez sérieux et responsable ... Persévérant et engagé dans tout ce que j'entreprends. J'ai une impulsive spontanéité qui me rendent, je pense, fort énergétique, ainsi qu'une certaine douceur de caractère qui me permet d'être calme et tempéré. Le fait que je m'attache facilement fait de moi un être très loyal et coopératif, et je ne refuse jamais une opportunité d'aider mon prochain. J'aime beaucoup ... Lire, étrangement. Dickens, Hardy, Sand, et j'en passe ... Le sport, évidemment, et ceux pratiqués vous sont mentionnés plus haut, et je pense vous avoir dit ce qui était essentiel et utile à savoir.

Vous avez la légère impression qu'elle n'a pas écouté la moitié de ce que vous venez de lui raconter et pourtant son visage se redresse vers vous avec un sourire poli qui ne dit rien sur ce qu'elle pourrait penser de vous en réalité. Le stress monte d'un cran... Comme vous le savez, notre université possède une excellente réputation que nous souhaitons entretenir, je tiens donc à vous rappeler que nous nous montrons intransigeants envers ceux qui ne respectent pas les règles de l'institution ou n'obtiennent pas des résultats suffisants ... sa façon de vous fixer vous fait tout de suite comprendre qu'elle attend vos propres arguments en faveur de votre "potentiel d'étudiant" et de votre respect du règlement (que vous n'avez pas encore lu, en fait) Vous feriez donc mieux de raconter n'importe quoi sur votre prestigieux parcours académique.

Je pense que ma performance sportive, les nombreux championnats remportés et les appréciations de mes professeurs suffiront à vous faire comprendre que je suis motivé et, je l'espère, compétent pour suivre des études dans le domaine qui m'intéresse. Si mes notes n'ont jamais rien eu d'exemplaire, vous remarquerez également, d'après mes dossiers, que je n'ai jamais eu de problèmes de l'ordre administratif dans mes anciens établissements.

Hm ... très bien, très bien. Une dernière chose, à présent. Elle prend un air encore plus sérieux que tout à l'heure alors que vous ne pensiez même pas que cela était humainement possible. Vous ne pouvez être sans savoir qu'une fusillade a eu lieu ici-même, par le passé ... je tenais donc à connaître votre ressenti vis-à-vis de cela.

Ah, oui, je m'en rappelle, de la fusillade ! C'était il y a quelques temps, déjà ... À l'époque, on en avait entendu parler partout, à New York. Sur la télé, dans les journaux ... Je pense que je ne saurais que dire que j'espère fortement que cela ne se reproduira plus, ni ici, ni ailleurs. Après, c'est sûr que personne n'est jamais à l'abri du danger ... Mais aucun homme ne devrait avoir le droit d'en blesser volontairement un autre.

Et finalement, l'entretien se termine. Ouf ! Vous recommencez à respirer normalement et vous vous levez après avoir été remercié par l'adjointe que vous espérez ne plus revoir avant un bon moment. Elle vous serre la main fermement (et c'est à ce moment-là que vous vous rendez compte que votre paume est moite, et la sienne, glaciale), puis vous raccompagne à la porte avant de refermer cette dernière (à clef ... hein ?! ) une fois que vous l'avez passée. Woah ... eh bien, ce fut un échange fort en émotions, mais vous vous félicitez d'y avoir survécu. Le plus dur est, après tout, bel et bien terminé !

Not my story.
this is my life and I'm still trying to figure out how that could be.
- Dalg ?

Assis sur mon petit lit de simple étudiant modeste, mon regard se leva légèrement lorsque j'entendis Holly prononcer mon nom. Non. Mon surnom. Celui qu'elle m'avait attribué, et qu'elle seule avait choisi d'utiliser en ma présence. C'était, en quelque sorte, "notre truc". Quelque chose qui nous unissait davantage, et faisait de nous plus qu'un "simple autre couple". Après tout, ce n'était pas tous les jours qu'une Alpha Bêta jetait son dévolu sur un pauvre petit Phi Epsilon que moi ... Que puis-je donc dire pour ma défense ? Que j'ai été chanceux. Je crois. Je ne me suis jamais amusé à lui demander ce que c'était, qui lui plaisait, chez moi. Je pense que je n'ai pas vraiment osé le faire, en fait, car je n'en ai jamais vu l'utilité. Même aujourd'hui, cela m'importe peu. Je l'aime, et c'est ainsi.

- C'est qui, cette femme ? avait-elle dit en caressant un cadre de métal argenté entre ses doigts. Elle s'était retournée vers moi et me fixait attentivement, attendant comme une réaction spécifique de ma part à sa question. Je clignai alors légèrement des yeux, cherchant réponse à la question qu'elle m'avait posé, ayant été perdu dans mes songes, comme à l'accoutumée.

- Hein ?

- C'est qui cette fille ? avait-elle répété avec insistance, se rapprochant de moi afin de me plaquer la photo sous le nez. Mes iris se dilatèrent au moment où l'objet croisa mon regard, mes yeux détaillant, avec particulière attention, l'image qui se présentait à eux. 2005. J'avais quinze ans, et ma soeur était à mes côtés, le bras enlacé autour de mes épaules. Si je l'aimais plus que tout, l'air de famille n'était pas apparent dans nos apparences physiques ; il aurait donc été facile de la méprendre pour une de mes conquêtes passées. Je savais pertinemment que moins j'en parlerais à Holly, plus cela l'intéresserait. Ce n'était peut être pas la fille la plus perspicace du campus ; néanmoins, elle figurait facilement parmi les plus curieuses.

- Ah ... C'est ma soeur. lui répondis-je donc, d'un regard à la fois nonchalant et empli de l'espoir qu'elle me croie. À en voir la manière dont elle fronça des sourcils, je savais que des explications seraient en mesure. Et si cela ne m'enchantait pas, de parler de mon passé ... Cela faisait à présent quatre mois que nous étions ensemble, et je me disais qu'elle méritait d'en savoir un peu plus, sur moi. Car je l'aimais assez pour ne pas souhaiter la perdre, et j'étais prêt à tout pour la garder avec moi.

- Ta ... soeur ? me demanda-t-elle alors d'un air incrédule. Tu ne m'avais jamais dit que tu avais une soeur ... continua-t-elle alors. ... Elle est jolie ... avait-elle finalement ajouté, d'une voix faible et lasse qui en disait long sur ses pensées. Elle m'avait tourné le dos, comme préoccupé par cette nouvelle, ne sachant que trop penser et croire face à mes aveux. Je ne la blâmais pas. Il y avait tellement d'hommes malhonnêtes, dans le monde aujourd'hui, que je ne pouvais pas lui en vouloir. Sans nul doute avait-elle déjà souffert de la main d'un abruti ayant mené une double-vie amoureuse, par le passé. Sans doute avait-elle peur de ne pas être aussi spéciale et unique que je le lui avais garanti, depuis notre premier baiser. La tirant alors par la taille, je la forçai à s'asseoir sur mes cuisses, la serrant tendrement dans mes bras. Je pouvais sentir l'odeur parfumée de ses cheveux de mes narines assoiffées d'elle et de tout le bonheur qu'elle avait su apporter dans mon monde.

- Je te promets que c'est ma soeur, et personne d'autre. lui avais-je alors susurré d'un ton apaisant. Mon menton trouva en son épaule gauche un appui stable, tandis que mes yeux se baladèrent le long de ses bras - s'attardant, légèrement, je vous l'avoue, sur sa poitrine.

- Elle a treize ans de plus que moi. lui avouais-je alors. Mes parents sont morts depuis que j'ai cinq ans, Holly.

Je lui ai alors expliqué. Le plus sombre morceau de mon passé. Combien grandir était difficile lorsque notre foyer était incomplet. Je lui contai combien Brianna avait dû, à la fois, assumer le rôle de soeur et de mère ; les jours passés à réviser pour ses études, travailler pour survivre, et cuisiner pour moi. Je lui exprimai, comme je n'avais jamais exprimé à quiconque, combien cela avait été difficile, pour moi. Comment je n'avais jamais vécu de plus sombre période dans ma vie ... Ou du moins, comment cela avait, alors, été mon ressenti.

- Et après ? m'avait-elle demandé, avide de connaissances, une fois mon récit terminé. La fixant sereinement, incapable de continuer, je lui demandai, de mon regard, ce qu'elle attendait, exactement, de moi.

- Et après, Dalg ? son regard insistant me broyait l'âme. Incapable de faire face à cette expression brûlante, je me détournai alors, regardant lâchement le sol, sans dire le moindre mot. Sa main se posa alors sur ma cuisse, mais je ne la repoussai pas. Le silence se mit alors à régner, envahissant l'air comme une voisine dont on cherchait à se débarrasser sans parvenir à lui montrer le chemin vers la porte d'entrée. Intangible et omniprésent, je le ressentais dans mon gosier, incapable de prononcer le moindre mot. Ma bouche s'ouvrit légèrement alors, mais pas un bruit se décida d'en émaner. Silencieux ; muet, même, ma gorge me brûlait. De milliers de fines épées semblaient se battre en coeur aux confins de mon oesophage, mes mains commençant légèrement à trembler, suivies du reste de mon corps. Ma gorge desséchée semblait tenter de faire taire, avec insistance, le secret qui essayait tant bien que mal d'éclater à la lumière du jour. Je revécus alors ces instants traumatiques de mon passé. Je revis son visage, clair comme de l'eau de roche, comme si tous mes efforts pour tenter de l'oublier avaient été vains ; inutiles ... Futiles. Lui. Son mari. Son "chevalier à l'armure luisante". Son "prince charmant des contes de fées". Notre goule et cauchemar commun.

La sueur se mit à perler le long de mon front. Dans mes doigts, les trémousses se firent plus rapides et agitées. Ma respiration se mit alors à se saccader, tandis que je me mis à ressentir, sur mes bras et mon dos, les coups infligés par un monstre enterré. Les cicatrices du passé étaient bien présentes, me hantant toujours, et ayant choisi cet instant précis pour reprendre vie. Aurais-je alors eu un miroir dans lequel regarder mon dos nu, je l'aurais sans doute imaginé recouvert de bleus et de rougeurs.

- ... Dalg ? demanda-t-elle alors avec hésitation. Et je l'entendis à peine, perdu au fond de mes traumatismes.

- Qu'est-ce qui se passe ? Ça ne va pas ? son ton avait été inquiet ... Du moins, c'est ainsi que je le vois, lorsque j'essaie de me souvenir de ce moment. Mais la ré-émergence de mes souvenirs trop souvent enfouis avaient, alors, pris toute l'ampleur sur mes pensées et ma concentration ; le reste n'était, en conséquence, qu'un écho flou perdu au loin. Ce n'était que lorsque Holly serra ma main dans la sienne que je revins, brusquement, à la réalité, mon regard se plongeant dans le sien, mon coeur s'apaisant subitement. Elle n'était peut être pas la fille la plus intelligente du campus, mais elle avait toujours su comment me rassurer. Pour ainsi dire, c'était comme si elle avait été faite pour moi.

- Je crois que tu as besoin d'en parler ... avança-t-elle finalement.

J'avais hésité, pendant un bref moment décisif. Le pour et le contre s'étaient mesurés dans mon esprit, engagés dans une bataille aux proportions épiques dont les conséquences résultantes n'étaient autre chose que simple évidence. J'avais, en effet, besoin d'en parler. Et si elle parvenait à m'écouter jusqu'au bout ... Si elle restait toujours avec moi, une fois mon histoire terminée ... Alors, je saurais qu'elle m'aimait réellement. Moi, et personne d'autre. Alors, je serais enfin rassuré, et je n'aurais plus peur, et qu'elle me quitte, et qu'elle me soit infidèle, et qu'on me la vole lorsque j'aurais le dos tourné. Je lui parlai donc du mariage de ma soeur ; du semblant de bonheur qu'elle semblait s'être, pendue telle une perdrix au bras droit de Matthew. Je lui détaillai le déménagement, le voyage, la vie à New York ... Ses coups, ses violences et ses humeurs invivables. Combien j'en avais souffert et pleuré, des larmes durant. Et si, parfois, mon récit fut interrompu par des silences forcés, mon esprit ayant été incapable de continuer jusqu'au bout sans prendre la moindre pause, je parvins néanmoins à tout lui conter, une bonne heure et demie durant, sans larmoyer, pour le moins du monde.

Mon récit terminé, Holly était toujours là, à mes côtés, occupée à me fixer d'un regard intense et rempli de réflexion intérieure. Je pense que c'est la seule et unique fois où j'avais eu l'impression, de toutes les fois où j'avais pu la voir en face de moi, qu'elle réfléchissait réellement ... Enfin, quand même pas. Mais c'était l'une des plus mémorables, en tous les cas. Ça, c'était sûr et certain.

- Alors ? Tu as quelque chose à dire ? lui demandais-je alors, légèrement inquiet. Effrayé à l'idée d'avoir fait une erreur de jugement et de m'être trompé en lui contant ce passage sombre de ma vie. Nerveux à l'idée de me dire que je m'étais rendu vulnérable en lui laissant prendre toute ma force entre ses mains afin de pouvoir en faire ce qu'elle veut. Pendant quelques minutes, Holly ne dit rien, et toutes mes craintes, et tous mes doutes, n'en furent qu'accru. Autant dire que je ne pouvais pas être plus surpris lorsque j'avais senti ses lèvres sucrées s'écraser contre les miennes et le poids de son corps renverser le mien contre le matelas. Autant dire que je ne m'attendais pas, non plus, à ce que mes mains se mettent à lui caresser le corps, glissant le long de ses côtes avant d'atteindre son bassin. Mais alors que je me retrouvais à enlever son tee-shirt, j'eus comme une prise de conscience, et je la repoussai, peut être un peu trop brusquement.

- Je ... Je ne peux pas. lui avouais-je alors, confus. Si je l'avais invitée ici, aujourd'hui, je dois vous avouer que cela avait principalement été dans le but de franchir ce "cap" avec elle. Je m'étais fait beau, j'avais passé une bonne vingtaine de minutes à me brosser les dents, je m'étais même coiffé et surtout, j'avais acheté un paquet de capotes neuves. Interdite, Holly était muette face à ma mine déconcertée, pensive. C'est alors qu'elle se mit à me tourner le dos, et à me demander, au départ, calmement :

- Pourquoi ? Tu as peur de me décevoir ? Ou alors tu ne veux pas coucher avec une "Alpha Bêta" ?

Sa voix était restée tout aussi paisible ; néanmoins, j'avais profondément ressenti l'accusation et le défi dissimulé dans la deuxième partie de sa phrase, ainsi que l'amertume qui s'y trouvait également. J'avais, en effet, une peur bleue de la décevoir. J'avais peut être eu des aventures avec d'autres filles, par le passé ... Mais là, ce n'était pas pareil. Elle, je l'aimais. Elle, je l'aimais vraiment. Et ça, ça avait le potentiel de tout gâcher. J'avais peur de ne pas être à la hauteur : tout le monde savait bien que plus de personnes passaient sur une Alpha Bêta que sur un autobus. Mais ce n'était pas que cela. Il y avait autre chose, aussi. Mes bras vinrent à nouveau encercler son corps, mon menton prenant, une deuxième fois, appui sur son épaule tandis que mon nez se plongea dans son cou.

- Tu sens bon ... lui avais-je alors murmuré. ... Et tu es si belle. Aussi belle qu'une princesse. Je suis sûr que tu mérites mieux que de baiser un type parce qu'il t'a raconté une triste histoire, non ?

Elle haussa des épaules, comme pour me rendre témoin d'une nonchalance ambiante en son sein. Soupirant légèrement, je parlai à nouveau, d'une voix claire et audible, cette fois-ci, mais toujours plus douce et discrète qu'à mon habitude :

- Ce que nous avons, actuellement ... C'est quelque chose de beau, non ? Tu ne trouves pas ? ... Je sais pas pour toi, Holly, mais ... Mais moi, je sais que je t'aime. hésitant légèrement, un soupir de ma part envoya mon souffle caresser sa nuque et causer des trémousses dans les vagues de ses cheveux ondulés, tandis que je continuais, plus bas encore :

- J'ai envie de toi ... Si tu savais. Ça fait depuis que je t'ai vue pour la première fois que je ne pense qu'à ce moment, Holly. Mais je ne veux pas que tu sois juste une autre fille. Et je ne veux pas être juste un autre mec. Je veux que ce soit spécial, entre nous. Parce que pour moi, tu es spéciale. La véritable "première". Celle que j'aime réellement, et ce, pour la première fois. Je n'ai pas envie de te "baiser", comme on dirait. Je ne veux pas qu'on couche ensemble. Je veux te faire l'amour.

Ma main gauche se laissa alors guider, le long de son bras, décidant de suivre la courbure de ses organes, tandis que la droite se permettait de dégager ses cheveux de son dos. Lentement, cette fois-ci, je l'aidai à enlever son tee-shirt, en toute douceur, en toute délicatesse ... Comme si le déchirer l'aurait déchirée elle, par la même occasion. Pas un son. Pas un mouvement. Pas le moindre bruit. Je dégrafais alors son soutien-gorge, le posant délicatement au sol avec son haut. C'est alors que j'ôtai mon propre tee-shirt, à moi, avant de l'inviter à tourner son visage vers le mien en le guidant de ma main.

- Tu es si belle ... avais-je alors répété. J'avais laissé Holly prendre place confortable sur le lit, avant de procéder à la suite de mon double-déshabillage. Et c'est ainsi que nous avions franchi un tout autre cap dans notre relation.

Voici comment j'ai fait l'amour pour la première fois de ma vie.

Behind the character.
better drink my own piss
PRÉNOM : Ferdinand. PSEUDO : Feu Ardent. ÂGE : 16 ans pendant 24 heures, zyva. :perv: PRÉSENCE : 7/7 :siffle:. NIVEAU RP : 0/20 (a). OÙ AVEZ-VOUS TROUVÉ LE FORUM ? Ici. :siffle: COMMENT LE TROUVEZ-VOUS ? Laid. :ôô: ANCIEN MEMBRE DE FRAT ? SI OUI, QUI (nom + avatar) ? Luke Larson (Colton Haynes) & Cheryl Renfield (Jessica Alba). POSTE VACANT OU PERSONNAGE INVENTÉ ? (si PV, mettre le lien menant au poste vacant ; idem avec les scénarios) : PV. :perv: VOTRE PLUS GRANDE PEUR VIS-À-VIS DE FRATERNITIES : Qu'il coule comme le Titanic. :TT: UN DERNIER MOT ♥ ? Mot. :bouh:
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