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 Non, je ne viens pas du Montana ...

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Feu Ardent
Feu Ardent
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Feuille de Superheros/Supervillain - Mutant
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MessageSujet: Non, je ne viens pas du Montana ...   Non, je ne viens pas du Montana ... EmptySam 7 Avr - 14:14


Cheyenne Elle Hopkins


« you think I'm a bitch ? You haven't seen anything yet. »


Non, je ne viens pas du Montana ... Mila38w84



Identity Card

Nom : Hopkins
Prénom(s) : Cheyenne Elle
Surnom(s) : Elle, Cher, Chienne pour les intimes ...
Date et Lieu de Naissance : Le 15 Décembre 1986, à New York
Âge : 25 Ans
Profession : Aucune
État Civil: Célibataire
Orientation Sexuelle: Lesbienne, bien que coucher avec des hommes ne lui fasse pas peur.
Groupe : Lost Dreams. C'est assez varié pour vous ?
Célébrité : Mila Kunis.
Personnage: Inventé Prédéfini (PV ou Scénario)

Mon Caractère

"Me décrire, me décrire ... Qu'est-ce que ça peut bien vous faire, de me connaître, au passage ? Ais-je changé le monde ? Suis-je si importante que ça que vous vous êtes sentis dans le devoir de me demander le type de personnalité que j'avais ? Visiblement, oui ! (Non mais c'est vrai, vous ne saviez pas que j'étais Wonder Woman ?) ... Au fait, là, c'est le moment où vous êtes censés vous éclater de rire, si vous ne l'aviez toujours pas compris ... Donc, vous vouliez en savoir plus sur ... ma ... personnalité ... Eh bien, ce n'est pas si difficile que ça en a l'air, si ? Si ?! Ah, dommage alors."

Si vous posez la question à Cheyenne, voici la réponse à laquelle vous vous attendez. Que pouvez-vous y faire ? C'est sa personnalité. Libre et légère comme l'air, elle préfère plutôt rire et s'amuser que de travailler et être sérieuse. Il n'y a pas sens de l'humour plus aiguisé que le sien, qui d'après certaines rumeurs aurait un jour réussi à voler un petit rire de la part d'un garde de Buckingham Palace. La clef de son succès humouristique ? Son originalité. Quelles que soient vos lubies ou rêves les plus foux, ils n'arrivent pas à la cheville de ceux de Cheyenne. Elle a littéralement tout vu, que ce soit des soucoupes volantes faites de sucettes ou encore des routes faites de grenouilles. C'est d'ailleurs pour cela qu'elle a toujours eu un talent pour les arts : elle sait instinctivement contourner les idées conventionnelles afin d'attérir dans le "jamais-vu".

Sympathique et spontanée, deux idées nous sautent immédiatement à l'esprit lorsqu'on parle de Cheyenne : elle est impulsive, et vit au jour le jour. Si vous essayez de planifier un rendez-vous avec elle, vous êtes certains de vous faire rejeter en beauté - elle a horreur de ceux qui ne savent pas prendre des choix sur un coup de tête, surtout parce qu'elle à l'habitude de les effectuer de cette manière. Étant une grande passionnée, il est donc normal que Cheyenne s'emporte relativement facilement lors de conflits et peut parfois sembler aggressive dans ces cas là. Si seulement ça s'arrêtait à ça ... Mais non : grande-gueule, elle se sent toujours obligée de "déballer son sac" (comme elle le dirait si bien) lorsque les choses ne vont pas comme elle l'aurait espéré. Nous supposons que vous pouvez également la traiter de franche, si vous y tenez vraiment.

Lorsque le jeu s'est un peu calmé, si vous espérez lui ôter des excuses, faites immédiatement demi-tour : elle ne vous offrira jamais des excuses (ou presque jamais), les conservant jalousement aux fins-fonds de son cerveau et ayant trop de fierté pour admettre ses torts ou le fait qu'elle ait besoin d'aide, du moins, à ceux qui comptent vraiment pour elle car elle ne veut pas les décevoir. Ceux qui ont eu la malchance de ne pas l'avoir rencontrée pour les bonnes raisons la qualifieront de femme "malhonnête" et "manipulatrice", et ils auraient sans-doute raison : égoïste comme le reste de l'humanité, ses interrêts passent avant tout.

Mais Cheyenne n'est pas un monstre insensible, loin de là. Compassionée, elle n'hésitera pas à vous venir en aide lorsqu'elle sent que votre moral ne bat pas à son plein. Protectrice, Cheyenne saura vous défendre face à n'importe quel affront. Elle vous fera rapidement confiance et ne jugera jamais une personne à première vue, donnant à tout le monde le privilège de tenter de faire partie de sa vie. Méfiez-vous parfois d'elle car il n'est pas rare qu'elle vous fasse de sales coups. Finalement, Cheyenne adore choquer, c'est un fait. Nous souhaitons donc rappeller que malgré ses qualités et ses défauts, il serait préférable de vous concentrer sur ses qualités car vous préfererez avoir Cheyenne en tant qu'alliée plutôt qu'en tant qu'ennemie. Ce qui est sûr et cetain, c'est que des filles comme elle, il n'y en a pas deux.


Mon Histoire

Elle ouvrit le gros sac rouge. Comme elle s'y attendait, celui-ci était vide. Les yeux en larmes, le corps tremblant, Cheyenne Elle Hopkins (dite "Elle") se mit à y jeter pêle-mèle tout ce dont elle aurait besoin, ou qui avait de la valeur sentimentale pour elle. Fouillant dans sa penderie, elle ignora les belles robes et les jolis froufrous; elle ignora les écharpes d'Hermés et les sandales de Jimmy Choo. Elle recherchait avec hâte des objets dont elle aurait vraiment besoin ; à présent, la beauté ne valait plus rien pour elle; d'ailleurs, plus rien ne valait plus rien pour elle.

Elle n'arrivait pas à y croire. Bannie, et ce, de chez elle. C'était des monstres. C'était des monstres et elle les haïssaient. Elle ne voulait plus jamais les revoir, ni lui, avec sa peau trouée de pores et ses cheveux tous graisseux, ni elle, avec ses os bien visibles sous sa peau et ses cernes creusées plus profondes que des tranchées de guerre sour les yeux. Ils n'étaient pas ses parents ; ils n'avaient pas mérité ce titre. Hormis l'éducation, la nourriture et le logis, que lui avaient-ils donné dans la vie ? Rien. Ils n'avaient fait que prendre d'elle. Lorsqu'elle avait douze ans, Elle avait eu son premier petit-ami; le garçon le plus populaire de l'école, aimé par toutes les filles, idolisé par tous les garçons et haï par tous les adultes, qui le jugeait trop "turbulent" et "vulgaire". Les Hopkins n'y avaient pas fait exception. Ils l'avaient tant déçue avec la manière dont ils avaient traité son premier amour que pendant une semaine, elle avait arrêté de manger.

Elle en avait enchainé, des petits-amis, les gardant jusqu'au jour où ses parents les rencontraient : ils n'avaient jamais approuvé de l'un seul d'entre eux, et tous étaient terrorisés par monsieur et madame Hopkins. Elle n'abbandonna pas pour autant. Elle continuait à chercher des hommes, elle continuait à les dessiner nus pour ses projets d'art. Elle les avait tous essayés : grands, petits, minces, gros, vieux, jeunes, musclés, intelligents ... Vint le jour où Cheyenne dut faire face à la réalité : ses parents n'approuveraient jamais son choix en hommes. Tant pis ; elle n'aurait qu'à choisir des femmes, dorénavant. Et c'est ainsi qu'elle est devenue lesbienne. Ça lui seyait mieux de toutes manières : elle avait toujours aimé choquer, et ça, ça ne changerait jamais.

Elle contempla le contenu de sa valise, dorénavant à moitié rempli. Il y avait six paires de sous-vêtements et de chaussettes, trois pulls en laine, deux shorts pour les journées d'étés, deux pantalons chauds pour les autres jours de l'année et deux légers tee-shirts, le strict nécessaire, en fait. Avec elle, elle n'emmênerait que les chaudes chaussures confortables qu'elle avait - toutes les belles chaussures à talons resteraient ici à prendre la poussière. Un véritable dommage, n'est-ce pas ?

Elle caressa une dernière fois toutes les belles robes qu'elle abbandonnait, car là où elle allait, elle n'aurait plus besoin d'être belle ... D'ailleurs, elle ne le savait même pas, où c'était qu'elle allait se réfugier. Ses doigts touchèrent finalement un tissus des plus familiers : il s'agissait de la première écharpe de soie que sa mère lui avait offerte. L'un des seuls souvenirs qu'elle avait des moments mère-fille entre les deux femmes Hopkins. La laisser ici lui déchirait le coeur ... Jettant furtivement un regard en direction du sac bordeaux, elle se résigna finalement à la prendre avec elle, se disant qu'elle pouvait se permettre le luxe d'au moins un souvenir, mais un seul uniquement ...

Vint le tour de sa "trousse de toilette". Il s'agissait d'un petit sac en plastique contenant une brosse à dents, un tube de dentifrice, son razoir et une brosse à cheveux. Ayant longtemps voyagé dans sa jeunesse, elle avait vite appris le sens du terme "voyager léger" et ne l'avait jamais oublié, pas même aujourd'hui, jour où elle devrait vouloir tout oublier après tout ce qui lui était arrivé ...

Elle se dirigea vers le bureau. Qu'y avait-il dessus ? Rien d'important ; rien de valeur, mis à part, peut être, si on y réfléchissait ...

Le trousseau de clefs. Lui, elle ne le prendrait pas, c'était sûr et certain; une évidence même. Lorsqu'on était aussi têtue que Cheyenne, on savait que dès qu'on franchirait le seuil d'entrée, on ne reviendrait plus. Elle savait que dès qu'elle quitterait la demeure familiale, elle n'y remettrait plus jamais les pieds. S'il le faut, ses parents ne voulaient pas dire ce qu'ils avaient dit ; ils n'étaient pas sérieux lorsqu'ils lui avaient demandé de prendre ses affaires et de partir. Elle, elle l'avait été. Elle, elle ne voulait plus revenir : elle savait que rester ne servirait à rien, qu'elle continuerait à les décevoir et qu'il n'y aura plus que des disputes, encore des disputes et toujours des disputes ... C'était ça, le soucis d'être fille unique : les parents sont deux fois plus sévères avec elles car ils n'ont pas d'autre enfants pour rattraper leurs ainés s'ils les déçoivent trop ...

Non, elle ne le prendrait pas, ce trousseau. Et puis, elle ne prendrait rien non plus de ce bureau ! Ni le papier à lettres que son "père" lui avait offert pour son huitième anniversaire, ni la chaine en argent qu'elle avait reçu pour son seizième anniversaire ... Elle ne prendrait rien de plus, tout simplement pour leur prouver qu'ils ne lui importaient plus et qu'elle n'avait plus besoin d'eux dans sa vie. Quoi qu'elle fasse à présent, ce serait seule, et s'ils la prenaient pour morte, tant mieux pour eux !

Elle referma rageusement le sac avant de se retourner une dernière fois et de se figer en voyant un cadre en bois. Dedans, une photo. Une photo prise d'un polaroïd, avec son père, une casquette sur la tête, elle sur ses épaules, sa mère à leurs côtés ...


- Mais qu'ils aillent se faire foutre ! cria-t-elle avant de jeter le cadre à travers sa chambre, la fragile surface de verre se fracassant en mille éclats. Elle s'effondra sur son lit et se mit à sanglotter à nouveau, bouleversée par ce qui venait de se produire. Elle savait qu'elle était allée loin ; tout le monde le savait, ça. Mais loin au point de se faire renier par sa famille ? C'était impensable. Elle ne méritait pas ça, ce n'était pas juste ! Elle n'avait qu'une envie, c'était d'aller les voir et d'implorer leur pardon ... Non. Elle était trop fière pour ça ; elle était trop fière pour les revoir. Elle partirait dans la nuit, comme une voleuse, avec son sac. Se levant brusquement, elle ramassa le sac et allait sortir lorsqu'elle revit le cadre brisé contre le sol. Elle marcha lentement en direction de la photographie avant de la ramasser avec précaution parmi les débris de verre, de la plier, et de la placer dans sa poche. Elle était prête, ou du moins, c'était ce qu'elle se disait afin que le voyage lui semble moins effrayant ... Elle expira longuement avant de fermer les yeux, de tourner la poignée de la porte et de sortir du "nid familial". À présent, elle était seule face au monde ...





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