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 GEOFFREY LEFÈVRE ★ you know i'd rather work alone then play a supporting role.

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Feu Ardent
Feu Ardent
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Messages : 682
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Feuille de Superheros/Supervillain - Mutant
Sexe: Masculin
Jauge de vie du Superheros/Supervillain - Mutant:
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MessageSujet: GEOFFREY LEFÈVRE ★ you know i'd rather work alone then play a supporting role.   GEOFFREY LEFÈVRE ★ you know i'd rather work alone then play a supporting role. EmptyLun 25 Mar - 17:57



Geoffrey. Zéphirin. Lefèvre.
Tomorrow we're too far away and we can't get back yesterday.
S'lut, je me présente, je m'appelle Geoffrey Zéphirin Lefèvre, mais on m'appelle plus couramment Geoff' ou Zeph'. Je suis né le 15 Mars 1990, à Nouméa, Nouvelle-Calédonie et puisque tu sais si bien compter, j'ai 23 ans ans. Actuellement, j'ai comme passe temps étudiant pour devenir ce que les français appellent "professeur des écoles", en dernière année mais également la boxe. Je suis plutôt attiré par les hommes, même s'il m'est arrivé d'avoir des expériences avec des femmes, par le passé ... et peut être par le futur, d'ailleurs je suis actuellement célibataire, visiblement .... On dit souvent de mois que je suis doux, respectueux, distingué, ainsi que trop protecteur, possessif et contrôlant ce qui me pousse à faire partie des Breathless. Souvent et pour mon plus grand bonheur (ou pas), on me confond avec Sebastian Lund :perv:, dont je remercie les excellentes images de tumblr.


→ ÊTES-VOUS ACTUELLEMENT EN COUPLE ? HEUREUX ? MALHEUREUX ? Nous venons de rompre ... Après deux années passées ensemble. Six années nous séparaient. Un univers entier, en somme. Il m'a délaissé, un beau jour, avec ses excuses minables et ses prétextes à la con. Et me voilà, à présent, contraint de l'attendre. Vagabondant de lit en lit sans jamais réellement me trouver une place, errant, tel un chiant battu, à la recherche du bonheur ... Mais je ne saurais par où commencer pour le trouver. Reviendra-t-il ? Peut être. Avec un peu de chance. Probablement. Sans doute. Ils reviennent toujours. Un jour ça se réveille et ça se croit plus puissant que le reste de la planète. Le lendemain ... Je vous laisse deviner la suite.

→ RACONTEZ-NOUS VOTRE PREMIÈRE HISTOIRE D'AMOUR. Ça ? Ça remonte, dites-donc ! C'était la petite-amie de mon meilleur ami. Elle était magnifique, avec ses cheveux blonds qui volaient dans le vent et ses yeux bleus pétillants d'indignation face aux injustices du monde dans lequel nous vivions. Je la convoitais, passionnément. Éventuellement, elle le délaissa pour moi ... Nous avions alors tous trois seize ans, et cette histoire dégénéra rapidement, d'abord, par une baston entre moi et mon pote, et ensuite, en un étrange triangle amoureux qui avait commencé entre un "partage" de petite-amie pour culminer en une sorte de plan à trois qui dura, maintenant que j'y pense, bien trop longtemps ... Une petite dizaine de mois. Bref. Changeons de sujet.

→ JUSQU’OÙ SERIEZ-VOUS PRÊT A ALLER PAR AMOUR ? Loin. Très loin. Pour moi, un amour ravage. Il consomme tout. Il n'arrive qu'une fois dans une vie, et il faut le saisir ... Sinon, c'est perdu, à tout jamais. Je n'ai jamais aimé la fille dépeinte plus haut. Le seul que j'aie vraiment aimé, dans ma vie, c'est lui. Et il est parti. Je suis persuadé qu'il n'y en aura pas d'autres. Pas de deuxième chance, pas de deuxième choix. Lui ou la solitude. Lui ou le néant. Une moitié de mon coeur lui appartient, et il s'est assis dessus afin de la garder au chaud. Donné c'est donné. Je ne peux qu'attendre son retour ou vivre seul le restant de mes jours. Mais agir, ce n'est pas mon genre. Lorsque l'amour est là, je le saisis et je m'y accroche. Mais s'il m'échappe ... Je perds tout pouvoir. Absolument tout.

→ CROYEZ-VOUS EN L'AMOUR ? POURQUOI ? Je crois en l'amour, oui. Le seul, l'unique. La passion enflammée. L'âme soeur. L'euphorie dégagée lorsque notre lit est partagé par une deuxième moitié de notre âme. L'impression de ne vivre qu'à travers l'autre. De n'agir que dans les intérêts de l'autre. La sensation de vivre pour l'autre. Je crois en cette belle et unique chose qui est l'amour. Je crois, par contre, qu'elle ne vient qu'une fois dans une vie ... Et que lorsqu'elle est partie, nous n'avons plus que nos yeux pour pleurer. Pourquoi ? Vous pouvez me dire pourquoi vous croyez que la terre est ronde ou que dieu existe ? Non ? Eh bien c'est pareil. Il s'agit d'une notion innée. Quelque chose que je ne saurais expliquer. L'acquis, le savoir qui appartient à notre être. Je n'ai pas d'explications à mes croyances. Tout ce que je sais, c'est qu'elles sont là, et que je n'ai pas d'autre choix que de vivre avec.


→ CROYEZ-VOUS AUX SECONDES CHANCES EN AMOUR ? POURQUOI ? Si vous voulez dire : est-ce que je crois aux secondes chances avec la même personne, alors oui. Car pour moi, la relation amoureuse est sacrée et inimitable. Elle vient une fois, et il faut s'assurer de la cultiver pour ne pas qu'elle meure. Si vous parlez, par contre, de la relation amoureuse avec une autre personne, je n'y crois malheureusement pas : comment offrir son coeur à une autre personne lorsque celui-ci ne nous appartient plus ou nous a été rendu en miettes ?

PRÉNOM/PSEUDOFeu Ardent. AGE16 ans. OU AS-TU CONNU AL ?Nous sommes partenaires, mais je vous connaissais déjà avant (a). COMMENT LE TROUVES-TU ?Jasdfksalskdfllwf J'ai vraiment besoin de commenter ou ma présence suffit ? What a Face. CROIS-TU EN L'AMOUR ?Non. :chut: Oui. :hehe: Peut être. Ö Un jour. Sad. DISPONIBILITÉ:perv:. PI ou SCENARIO ?Inventé par le calumet de la paix :lovers: . VEUX-TU L’EXCLUSIVITÉ DU PRÉNOM ? [x] oui s'il vous plait :mignon: ; [] non VEUX-TU L’EXCLUSIVITÉ DU NOM ? [x] oui, sauf lien familial :mignon: ; [] non DOUBLE COMPTE ?ici What a Face. UN DERNIER MOTvotre forum ? il gère. :perv:.

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MessageSujet: Re: GEOFFREY LEFÈVRE ★ you know i'd rather work alone then play a supporting role.   GEOFFREY LEFÈVRE ★ you know i'd rather work alone then play a supporting role. EmptyLun 25 Mar - 17:58

17 Janvier 2012

Mon projet initial était de chroniquer l'histoire de notre amour ici. De noter chaque détail, de raconter chaque geste sans jamais y apposer la moindre fioriture inutile ou le moindre embellissement irréel. Mais rapidement, je me suis rendu compte que les mots ne parviendraient jamais à retracer ce que nous avons, à la perfection. Que mes idées et paroles rédigées ne correspondraient jamais à mes pensées les plus profondes et les plus obscures ; qu'il ne pourrait jamais y avoir une autre manière pour moi d'exprimer ce que je ressens réellement à ton égard qu'en te disant ces deux mots. Je t'aime. De ça, j'en suis persuadé. Bientôt un an passé avec ton imposante présence dans ma vie. Pas une minute sans que le poids de tes absences n'annonce ses lourdes répercussions sur ma vie. Tu te rappelles du concert de Coldplay qui s'était déroulé à Sydney, il y a deux semaines ? Je n'en ai pas entendu une miette, mes pensées ayant été hantées par des images de toi. Tu es jeune. Innocent. Naïf. Je suis plus âgé et plus réfléchi ; moins téméraire de nature. Tu as encore beaucoup de choses à apprendre. Mais je te les enseignerais avec plaisir et une patience exemplaire. Et s'il venait un jour où tu voudrais d'un autre précepteur que moi, je me plierais à ta volonté, et je t'attendrais, aussi longtemps que nécessaire. C'est ainsi que se mesurent mes sentiments à ton égard. C'est ainsi que j'aimerais que tu te souviennes de moi s'il m'arrivait, un jour, quoi que ce soit.

27 Mars 2011

Ton regard affamé m'appelle. Jour après jour, nous nous voyions. Mon voisin distant. Silencieux être humain. Je viens à peine d'arriver que déjà, te voilà, prêt à me dévorer. Quel âge as-tu, gamin ? Je te mangerais cru, n'en doute pas. Les gens me voient faible car j'ai vécu à Nouméa, loin d'ici ; que mon père a refait sa vie avec une folle, de dix ans mon aînée, et que ma mère est littéralement morte d'un surmenage apparent dont elle souffrait depuis le divorce. Je le vois dans vos regards, à vous tous : vous ne me faites pas confiance. Je cours le matin, torse nu, dans le vent glacial, me pavanant fièrement avec mon tatouage à l'épaule droite, et tout de suite, je passe pour un homme de mauvaise réputation. Le "sale type" qui vit au bout de la rue, qui a un berger allemand pour chien et boit de la bière sans utiliser de verre. Celui qui sourit mais ne parle pas, ou alors, pour ne pas grand dire grand chose ; dont le passé douteux laisse à désirer quant à la confiance que les autres se plaisent à lui accorder, un passé duquel il refuse de parler ouvertement. Je ne suis pas aveugle. Je sais ce que tout le monde pense. Ce qui se dit ... Je sais même que tes parents doivent conter les derniers ragots à mon sujet à tes oreilles. Et je sais aussi que tu es ... Différent ... Tu as quel âge, au juste ? Je ne te donne pas plus de quinze ans. C'est jeune ... Tellement jeune ... Je devrais vraiment arrêter de te regarder, lorsque je te vois dans la rue. Je devrais vraiment arrêter de te sourire, de loin, et de te saluer chaleureusement lorsque nos chemins se croisent. Je devrais arrêter de servir de plombier attitré à ta mère et de réparateur d'automobile à ton père. Mais c'est dans ma nature. Ma mère m'a toujours appris à aider mon prochain, et son enseignement n'a pas péri avec elle. J'ai grandi sans posséder quoi que ce soit, et cela ne m'a qu'aider à donner davantage aux autres. À partager. Mais je suis égoïste, comme tout le monde. Tu veux la connaître, la véritable raison de ma présence régulière, chez vous ? C'est toi. Tes yeux. Ta bouche. Ton visage. C'est la seule raison qui me suffit à accepter les moindres requêtes de tes parents, quelles qu'elles soient. Car si personne ne me fait réellement confiance, ils n'oublient pas, non plus, les mérites attachés au stéréotype des "types comme moi" ... Mais j'hésite encore. Je ne sais pas si aller plus loin serait une bonne idée. Je suis, pour ainsi dire, complètement tourmenté entre ma raison et mon coeur, l'un me disant de te fuir, l'autre me poussant à te prendre dans mes bras. Qu'en est-il de toi ? De ta raison et de ton coeur ? Je suppose que tu me le dirais, un jour, non ? Ou serais-ce à moi de faire le premier pas ? On verra bien. Le temps seul en sera l'arbitre. En attendant, je me contenterais de te sourire. De te dire bonjour et au revoir. Je me contenterais d'être le voisin effacé que tous ceux du quartier semblent voir en moi. J'ai toujours été de nature patiente ... Mais ça, tu le découvriras avec le temps, je pense.

03 Avril 2011

C'était donc moi qui avais-eu à faire le premier pas. Qui l'aurait deviné, ces quelques jours auparavant ? C'était donc à moi de te faire ce petit sourire en coin, sourire auquel tu répondrais. La lourde tâche de pousser l'autre contre un mur afin de pouvoir plaquer ses propres lèvres contre les siennes m'était, après tout, retombée dessus. J'étais allé au delà des frontières que j'aurais pu m'imposer par le passé, et dorénavant, le futur était passé de prévisible à incompréhensible à mes yeux. Car je faisais là un acte illégal. Comment appelaient-ils cela, déjà ? Ah, oui : le détournement de mineur. Comme si leurs lois à la con avaient beaucoup d'impact sur mes décisions lorsqu'elles celles-ci seraient les facteurs déterminants de mon bonheur, ou inversement. Je t'ai embrassé, sous ce soleil éclatant, alors que nous repeignions le mur extérieur de l'étage de maison que je parvenais, de justesse, à louer, mensuellement. Je t'ai embrassé, avec fougue et passion, en ce début de printemps, ayant saisi ma chance à deux mains. Tu étais tombé entre mes mains, par le plus pur des hasards, et je m'étais décidé d'agir. Car je savais que, le cas échéant, mes regrets surplomberaient ma bonne conscience. Ne t'ais-je jamais dit que mon père avant abandonné ma mère ? Avais-je omis de parler du fait qu'elle n'avait jamais su se remettre de cette délation et n'était, en conséquence, jamais retombée amoureuse de qui que ce soit ? Probablement. Cela m'étonnerait guère. Néanmoins, l'idée était à présent ancrée en moi, plus profond, encore, que vingt mille lieues sous les mers. Nous ne tombons amoureux qu'une seule fois de notre misérable existence. Et après, c'est fini. Comme ça. Comme dans un claquement de doigts. Pouf. Plus rien. La solitude éternelle, les plaisirs charnels, le sexe ... Mais plus jamais d'amour. C'était ainsi que la nature était faite. Je t'ai embrassé. Et ce jour là, je peux certifier que ma vie a changé à tout jamais. On oubliait mes origines, mon passé. Mon histoire tumultueuse avec mes parents, les difficultés financières qui m'avaient accompagné jusqu'à présent ainsi que mes relations sexuelles douteuses du passé. On faisait abstraction de tout. Il s'agissait de l'un des moments où le passé n'avait plus de sens, et le futur n'en avait pas encore. Où ces trois périodes temporelles se superposaient afin de ne former qu'un tout, uni, pour le meilleur et pour le pire. C'est ce que j'ai ressenti, lorsque je t'ai embrassé. Et je sais que je le ressentirais à tout jamais dès que mes mains se poseront sur toi.

23 Juin 2011

Hier soir était magique, tout simplement. Jamais n'ais-je vécu nuit aussi pure et idyllique qu'à tes côtés. Jamais amour corporel n'aurait pu être aussi beau. Nos corps s'emboîtaient telles deux pièces conçues uniquement pour fonctionner ensemble. La clef adaptée à la serrure, l'essence confectionnée pour ce moteur particulier. Une énergie unique transférée, de toi à moi, puis de moi à toi ... Et ainsi de suite. Un cycle charnel des plus enflammés, une nuit à la fois douce et brutale ... J'avais insisté que l'on attende. Par peur de me causer des ennuis avec la loi, par peur de devenir un paria de la société. Je souhaitais attendre tes seize ans, au moins. Je souhaitais attendre ta majorité sexuelle d'après les lois de chez moi. Si je suis né en Nouvelle-Calédonie et si tu sais que je n'ai jamais mis les pieds ailleurs, elle appartient, bel et bien, aux Français. Au petit matin, tu soupirais, dans ton sommeil, profondément perdu dans tes rêves et songes. Je t'ai caressé le front, en dégageant certaines mèches de cheveux rebelles, avant d'y apposer un baiser de mes deux lèvres. Et j'ai attendu ton éveil, patiemment. Comme je t'avais promis que je le ferais. Je t'avais bien dit que je ne t'abandonnerais pas, non ? Là, au moins, tu en as eu la preuve concrète.

04 Août 2011

Malheureusement, ce jour devait arriver. Tes parents ont eu vent, par le plus grand des hasards, de notre relation que nombreux auraient pu juger "malsaine". Je dois t'avouer que j'ai, encore, aujourd'hui, du mal à réellement comprendre notre union, qui me semble, à la fois, sacrée et damnée. Une malédiction bénéfique qui rode en mon coeur et fait de moi à la fois l'homme le plus heureux du monde, mais également, le plus répugnant ... En tous les cas, ton père ne semble pas prêt à m'appeler "fils" de sitôt ! Non que je lui en veuille ... Ils ont raison, après tout. Je profite de ta jeunesse, en quelque sorte. Mais comment faire autrement lorsque mon âme brûle de tous feux pour toi ? Comment faire autrement lorsque mon coeur s'écrie à me dire que tu es celui qu'il me faut ? Je suis tourmenté entre la solution de rester avec toi, malgré tout. D'affronter tous les défis à tes côtés, tous les hauts, tous les bas ... Ou au contraire, partir, en silence, et te laisser tenter d'apprendre la vie, seul ... Tu n'es encore qu'un adolescent, après tout. Est-ce juste, de moi, de te demander de renoncer à ta jeunesse dans le seul but de m'aimer ?

07 Août 2011

C'est décidé. Je quitte ta vie, définitivement. Je t'aime à un point que tu ne peux pas imaginer. Je t'aimerais sans doute toujours, et toujours autant. Mais j'ai discuté avec ton père. Il a raison. Je n'ai rien à faire avec toi. Tu mérites de gagner en âge et en maturité, et non vieillir avec pré-maturation à cause d'un "vieux pervers" dont la seule ambition dans la vie est de profiter de la faiblesse de jeunes garçons innocents. J'aimerais t'écrire, encore ... Mais il ne le faut pas. Je t'embrasserais une dernière fois, ce soir. Je caresserais tes épaules nues de mon nez pour finaliser le tout. Nos corps s'aimeront, encore, juste le temps d'une nuit ... Et au matin, j'aurais disparu. N'essaie pas de me chercher, il en vaut mieux ainsi. Un jour, tu comprendras, je l'espères. Adieu.

24 Décembre 2011

Ce Noël, j'aimerais bien t'avoir à nouveau. C'est trop difficile ... Je reviens. Et je te promets que je ne repartirais plus. As-tu reçu mon cadeau d'anniversaire ? J'espère que tu ne l'as pas jeté, en tous les cas ... Je suis certain qu'il te servira grandement. Sais-tu combien tu me manques ? J'espère que oui, car sinon, cela voudrait dire que je ne t'ai pas autant manqué que je l'aurais espéré. Explique moi quelque chose : pourquoi est-ce que malgré le fait que de nous deux, je sois le plus âgé, je sois celui qui se comporte, à présent, comme un gamin irresponsable ? Pourquoi est-ce que je reviens, maintenant, la gueule enfarinée, un paquet emballé soigneusement dans une main, mon coeur maladroit dans l'autre, un sourire niais dans l'autre ... Ton père, je l'envois paître. S'il me dit quoi que ce soit, je lui casserais les dents, je te le promets. Car plus rien je ne laisserais quoi que ce soit venir entre nous. Plus jamais je ne me laisserais faiblir au point d'en oublier mon amour pour toi. Tu es la personne la plus importante de ma vie, aujourd'hui, hier et demain, et j'espère, avec ferveur, que mes sentiments sont miroités avec réciprocité. Ton odeur me manque ainsi que la mélodie cachée dans ton rire. Je serais là, aux alentours de dix-neuf heures. J'espère que tu n'as pas prévu de sortir, ce soir. Je t'emmènerais dans mon nouvel appartement, ce soir, promis. Et j'espère ... J'espère être à la hauteur. Bordel. Que tu m'as manqué !

13 Février 2013

Un peu plus d'un an, déjà, que nous nous sommes retrouvés, mon amour ... Et si l'idylle a culminé en ce qui était la plus somptueuse des histoires d'amour, je commence à craindre pour notre relation. La banalité s'est installée dans notre vie, ta rébellion belliqueuse commençant ainsi à s'immiscer dans notre vie de couple. Je sens bien ton regard disparaître furtivement dans le coin lorsque je t'embrasse dans le cou ... Je sais que ta main se dérobe parfois rapidement lorsque mes doigts parcourent sa géographie ... Et cela me fend le coeur en deux, de ne plus me sentir à la hauteur. Indésirable. Envahissant. Comme si chaque mot que je prononçais écorchait tes oreilles et que le souffle de ma respiration t'opprimait et t'accrochait une enclume au pied. Alors dis moi quoi faire, car je ne veux pas te perdre ... S'il te plait. Je ferais n'importe quoi pour toi ... N'importe quoi ...

18 Mars 2013

Tu crois duper qui ? Tu reviendras. Nous le savons tous deux aussi bien l'un que l'autre. Ce n'est qu'une question de temps. Tu verras. Mais je ne t'attendrais plus. Ainsi, ne soit pas surpris si les serrures changent du jour au lendemain ou si les soupirs d'une autre personne émaneront de l'autre côté de la porte. J'ai assez vécu pour toi. J'ai sacrifié trop de choses en ton nom. Tu veux vivre ? Eh bien vis. Mais sache que je ferais exactement la même chose de mon côté, parce que tes gamineries m'agacent au plus haut point. Je pars, une semaine. N'essaie pas de me contacter.

25 Mars 2013

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